1. dayouth


    Datte: 21/07/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... de te choquer, j’aimerais que tu le fasses, lui dis-je enfin.— Tu veux me prostituer, dis-moi…— Oui, prostitue-toi pour moi, avec lui, avec Abdelkader, avec tous les vieux qui tetentent.— Parle-moi crûment, ça m’excite, fit-elle en se serrant contre moiJ’ai retiré sa petite culotte, et j’ai palpé ses fesses comme Henri aimerait le faire.— Des gros mots ?— Ce que tu veux, dis-le avec tes mots.— Je veux que tu te prostitues, que tu fasses la putain, que tu deviennes très salopeavec tes vieux cochons. Je veux le savoir, que tu me dises tout, peut-être même levoir, je veux te posséder après eux, pleine de leurs spermes, je veux que ma tendreépouse me fasse cocu, me le montre, me le prouve… Je veux dormir dans nos draps tachéspar tes amants… arr iyi d atahan !Là, c’est moi qui perdais les pédales, j’allais trop loin, je disais n’importe quoi,j’allais tout foutre en l’air en la choquant, et je l’ai embrassée longuement.Le week-end venu, nous sommes allés chez ses parents à At Yanni. Nous y avons vu sononcle, le frère de son père, qui la dévorait des yeux le salaud. Ce n’était pas prévuet cette confrontation me glaça. Il avait de la chance me dis-je, alors qu’il étaitpersuadé que c’était l’inverse. De retour dimanche, nous avons déliré sur la route surcet oncle charmeur de 52 ans, bel homme, qui avait bêtement ignoré que la petitevictime qu’il avait allumée sans vraiment le savoir était devenue une jeune femmeépanouie et gourmande, même de lui au moins en rêve pourtant c’est une ...
    ... penséecomplétement i****tueuse.Abdelkader, bien sûr, vint. Il est venu une demi-heure après notre arrivée. Akila,émoustillée par sa rencontre avec son oncle et nos propos croustillants sur laroute avait cette fois accepté de retirer sa culotte. Ce fut pour moi à la fois unsoulagement et une terrible angoisse, sentiment paradoxal fait d’excitation et decrainte. Fuite en avant. J’ai servi le café et ai prétexté devoir compléter le niveaud’huile dans la voiture pour les laisser. Je suis remonté une bonne demi-heure après,en faisant beaucoup de bruit. Akila avait le regard brillant des moments de grandeexcitation. Abdelkader était rouge… Je me doutais bien qu’ils n’étaient pas passés àl’acte, mais il a dû se passer quelque chose, s’embrasser peut être ! Ils auraienttout le temps le lendemain, et tous les jours qui allaient suivre. Qu’avais-je fait,qu’avais-je osé ? Je me pris pour un fou, un fou qui pourtant bandait fort. Ughalaghd cmata ! Paradoxe encore. Terrible paradoxe d’une envie hors norme, excitante parcequ’elle était hors norme, et angoissante aussi pour cela.Quand Abdelkader fut parti, je me suis précipité sur elle pour caresser son sexe.Plein de sève, naturellement, mais apparemment rien d’autre.— Je n’ai pas couché avec lui si c’est ce que tu veux vérifier…— Il t’a embrassée ?— Oui, embrassée, caressée…— Et toi ? Tu l’as touché ?— Oui…Elle m’embrassa, comme toujours quand elle était embarrassée. Elle baissa les yeux…— Si tu es jaloux, je le comprendrais, fit-elle.— Tu ...
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