Deux plus deux
Datte: 22/07/2018,
Catégories:
f,
h,
fh,
hh,
couple,
douche,
telnet,
amour,
cérébral,
noculotte,
Masturbation
fsodo,
... moi.— Tu n’as presque rien à faire ma chérie.— C’est vrai ?— Un souffle suffirait.— Dis-moi comment tu es.— Allongé sur mon lit. Nu, et je bande comme jamais.— Je ne te l’ai peut-être pas assez dit, mais j’adore ta bite. La regarder, la caresser… la prendre en bouche… la prendre en moi…— Continue, haletai-je— Caresse-la, je mêle mes doigts aux tiens— Voilà— Je parcours la hampe, je flatte sa longueur. Je l’imagine en moi. Oui en moi, dans mon cul ! Tu imagines aussi ? Tu crois qu’on va le faire ?— Oui je crois Caro. J’ai envie de ton cul.— Demain si tu veux, je te l’offre. J’arrive à ton gland. Il est gros et gonflé. Je l’avale.— Oh Caro, oui ! Mes gestes suivaient sa voix. En effleurant la base de mon gland, une décharge m’avait électrisé, profonde, partant de très profond en moi, puis irradiant tout mon corps. Avec fulgurance, je la sentis gagner mon fondement, mon anus, parcourir ma verge en un éclair, puis exploser dans mon gland en expulsant un jet d’une puissance inouïe, suivi d’un second, et les suivants, que je ne comptai plus, défaillant de plaisir. — Toi aussi tu m’as fait jouir, mon amour.— J’aurais tant aimé voir ça, répondit-elle d’un air moqueur.— Tu ne perds rien pour attendre.— Je ne sais pas comment je vais tenir jusqu’à demain soir.— Tiens, je crois qu’à côté, ils en sont au même point…— Ah bon ? Tu les entends là ?— Oui. Je les entends hurler de plaisir.— Tu me fais entendre.— Je ne sais pas si ça va marcher. Attends. Je me levai et allai sur la pointe des ...
... pieds me poster devant la porte de leur chambre dans le couloir. J’étais nu comme un ver, des gouttes de sperme maculant mon ventre et ma poitrine. Les gémissements continus de Véronique retentissaient dans le couloir. Je tendis le téléphone contre la porte pour que Caroline en profite. Bien que venant de jouir, je sentis mon sexe durcir à nouveau. Je les imaginais faisant l’amour – d’autant plus facilement que je les avais déjà vus. Véronique semblait subir un orgasme d’une longueur incroyable. Elle marmonnait des sons inintelligibles, des mots déformés par le plaisir. Puis Julien mêla ses râles aux siens. Il jouit en riant, en disant : — Oh ! tu m’as eu, ma chérie. Je jouis, je jouis en toi ! Oh ! que c’est bon de t’inonder de mon plaisir ! Oh, oui c’est bon !— Oh ! oui c’est bon, répéta-t-elle. Tu m’as remplie complètement. Complètement remplie de plaisir. Tu m’étonnes tous les jours mon magicien. Tu m’as comblée. Je t’aime. Je t’aime. Je rentrai furtivement dans ma chambre et repris le téléphone : — Caro ? Tu as entendu ?— Oui, j’ai entendu. C’est fort ! J’ai l’impression de nous entendre il y a cinq minutes.— Oui, c’est étonnant, on utilise les mêmes mots.— Je comprends ce que tu veux dire quand tu dis que c’est troublant. Je suis très troublée, me confia-t-elle. Je me sens toute drôle d’avoir entendu ça.— Tu risques de l’entendre encore demain.— Oui. Mais demain, c’est surtout toi que je veux entendre crier de plaisir !— Alors bonne nuit ?— Oui, bonne nuit mon chéri.— ...