Deux plus deux
Datte: 22/07/2018,
Catégories:
f,
h,
fh,
hh,
couple,
douche,
telnet,
amour,
cérébral,
noculotte,
Masturbation
fsodo,
Résumé épisode précédent :Romain vient d’arriver dans une petite ville de province. Il est hébergé par Julien et Véronique, un couple libertin qu’il entend faire l’amour dans la chambre voisine… La lumière éclatante du soleil levant inondant ma chambre me réveilla. Je m’étais endormi sans même fermer les volets. Le réveil indiquait 6 h 30 du matin. Je rassemblai péniblement mes souvenirs mais mon esprit restait confus, embrumé. Non, je n’étais plus à Paris ; Caroline ne dormait pas à côté de moi dans cet immense lit blanc. Le puzzle se remettait en place, petit à petit. Nous étions mercredi ; j’allais entamer le troisième jour de mon nouveau travail. Et cela faisait trois jours que j’étais arrivé chez Julien et Véronique qui m’hébergeaient le temps que je trouve une maison pour emménager avec Caroline. Julien et Véronique étaient charmants avec qui je passais d’excellentes soirées à deviser devant un bon repas. Nous avions un grand nombre de centres d’intérêt en commun : sports, lectures, musiques… Nous étions vraiment faits pour nous entendre, et j’étais certain que Caroline partagerait mon avis. Là, les pièces s’assemblaient de façon plus chaotique. Presque chaque soir, mes hôtes faisaient l’amour. Après tout, il n’y avait rien de mal à cela, mais je les entendais très distinctement, ce qui faisait naître en moi une excitation qui confinait au voyeurisme. Hier soir, à travers l’embrasure de la porte de la salle de bain commune à nos deux chambres, je les avais contemplés ...
... en pleine action pendant de longues minutes. Véronique, qui était tournée vers moi, m’avait-elle vu ? Je ne pouvais en être certain, mais c’était possible. Mais la pièce la plus tordue de ce puzzle était ce qui s’était passé plus tôt dans la journée. Après être allés courir, Julien et moi avions pris notre douche ensemble dans la grande cabine assez grande pour tenir à dix. Et pris d’une pulsion inexplicable, je m’étais mis à le masturber, après qu’il m’eut expliqué pratiquer l’échangisme avec Véronique. Il s’était laissé faire sans protester et m’avoua ensuite avoir adoré cela. Qu’est-ce qui m’avait pris ? Je n’avais jamais été attiré par les hommes. Je n’avais jamais été infidèle à Caroline. Et d’un coup, deux barrières se brisaient. Ce souvenir m’obsédait, et ce qui me mettait le plus mal à l’aise était qu’il m’excitait au plus haut point. Le puzzle était maintenant complet, je pus me lever et aller me doucher. Le chaud ruissellement sur ma peau acheva de me réveiller et de remettre mes pensées à l’endroit, en prenant soin de cacher les plus gênantes au fond de mon cerveau. Je descendis ensuite préparer le petit déjeuner. La cafetière ronronnait lorsque Véronique fit son apparition dans la cuisine, la mine encore endormie. Elle portait une simple nuisette à fines bretelles bleue qui lui descendait à mi-cuisses. Ce frêle morceau de soie dissimulait à grand-peine une magnifique paire de seins dont les tétons formaient deux petites pointes. — Tu as préparé le petit déjeuner, ...