Franc
Datte: 23/07/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
... qu’il a connues, si fragile. La décision d’Isabelle est prise, aujourd’hui elle va tout permettre, ne rien refuser, au diable les tabous. Être disponible, attendre les envies de l’homme, lui donner tout le plaisir qu’il désire et en recevoir autant en échange, elle l’espère. C’est d’abord une nuée de baisers, la bouche vole partout, ne s’arrête sur aucun point précis : le visage, les seins le ventre, le buisson, les jambes, jusqu’aux pieds. Ce comportement a le don d’agacer Isabelle, lui provoquer la chair de poule, mais réveille quelque part au creux de l’estomac des envies inconnues. Puis les grandes mains s’emparent des seins, les englobant tout entiers. Les bourgeons dépassent entre deux doigts qui se resserrent pour les pincer. Mais la bouche vient les soulager, les téter. Les paumes glissent le long des côtes, des hanches, viennent s’insérer entre les cuisses pour les écarter. Elles ne résistent pas et l’angle fermé s’ouvre devant des perspectives alléchantes. La tête de Franc a glissé le long du torse, est venu au-dessus de ce duvet fin comme celui d’une pucelle. Il l’admire, le caresse dans le sens du poil, souligne les vallées, insistant sur les failles, les fouillant de la pointe dure de la langue. Les cuisses se décrispent, laissant toutes libertés à l’explorateur qui en profite largement. Le nettoyage systématique étonne, surprend l’intéressée qui sent sourdre en elle une humidité inconnue. Son corps semble s’alléger, vibrer d’une manière surprenante. De sa gorge ...
... monte un gémissement involontaire. Un, deux doigts s’insèrent dans la faille depuis longtemps ignorée. La sécheresse qui la faisait souffrir lors des pénétrations a disparu, au contraire ils glissent d’une façon aisée. Ils vont, viennent et le bonheur grandit. Son partenaire modifie sa méthode, il pivote, ses jambes remontant au-dessus de la tête d’Isabelle. Le plaisir est toujours aussi intense, les yeux fermés elle le savoure, les lèvres entrouvertes. Un éclair plus violent lui fait ouvrir les paupières. Devant elle, une tige dure qu’on lui avait interdit de toucher, les demandes de son mari étaient restées sans effet sur elle. Elle se remémore ce qu’elle a vu cet après-midi, la façon dont cette fille a saisi et joué avec cet instrument. Hésitante, elle se décide enfin à le prendre. C’est un objet chaud qui palpite comme un oiseau, mais très dur. Elle n’en a jamais vu de près, elle en a seulement senti les ravages lorsqu’il fonçait dans son intimité. Mais aujourd’hui elle a décidé de se laisser aller à toutes les expériences possibles. Elle entrouvre les lèvres, tire la langue et vient essuyer une goutte qui perle de la fente. Son goût âcre la surprend. Elle referme les lèvres sur ce cône rose qu’elle vient de dévoiler, l’aspire doucement. Sous l’effet de sa langue il vibre, se met en mouvement s’enfonce lentement, vient buter contre son palais. De ses deux mains serrées autour de la tige, elle l’empêche de pénétrer trop profondément. Le double plaisir du bas joint à celui ...