Franc
Datte: 23/07/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
... de goûter ce nouveau mets la transporte. Elle ne peut parler émet seulement des petits cris de bien-être. Brutalement son jouet s’éloigne, son triangle est abandonné. — Isabelle, je n’en peux plus, je veux te prendre.— Fais ce que tu veux s’entend-elle dire. Le geste tant redouté avec son mari, la pénétration, devient un divin enchantement. Elle est pénétrée calmement, puis perforée à grands coups et chacun d’eux fait briller des éclairs dans sa tête. Elle se tend sur les talons et la nuque pour mieux s’offrir. Et soudain c’est l’explosion, le paradis. Elle sent à l’intérieur de son ventre se répandre la semence qui la dégoûtait tant autrefois. Au lieu de bondir pour se nettoyer, elle veut garder la preuve de sa naissance en tant que femme. Ils sont restés longtemps enlacés. Elle voudrait demeurer éternellement dans ce nirvana. Mais les jus mélangés de leurs plaisirs s’écoulent et il leur faut aller se nettoyer. Dans la salle de bain, pour la première fois elle se regarde sans honte, se trouve belle, surtout quand une voix derrière elle le lui confirme. C’est lui qui l’a savonnée, insistant sur toutes les zones qui ont été touchées par le plaisir. On lui avait appris que les toucher était une chose sale et indigne, maintenant cela lui paraît une bénédiction. Ils se sont rincés ensemble sous la douche. Longtemps l’eau tiède a coulé sur eux, entre eux. Puis ils ont regagné le lit défait. Enlacés, ils se sont regardés en souriant, ont fait connaissance avec le corps de l’autre. ...
... Le sommeil les a terrassés, simplement recouverts d’un drap. Les cloches d’une église proche les ont tirés de leur repos, c’est dimanche et il est tard. — Bonjour Isabelle. Tu as bien dormi ?— Oh mon grand, c’était merveilleux. Je rêvais que tu me prenais sans arrêt, que je planais au-dessus du monde.— Tu as simplement connu le plaisir. Il y a mille manières de faire l’amour, en voila une qui te convient.— Je t’en prie, fais-moi encore l’amour. Elle a accepté tous les hommages de la veille, y a pris une part beaucoup plus active. Elle a gardé les yeux grands ouverts, découvert le corps de l’homme, ses gestes, commenté la montée de son plaisir, crié quand il a éclaté. Sous la douche, ils se sont à nouveau nettoyés mutuellement. Elle a longtemps examiné, manipulé, caressé ce sexe qui autrefois la traumatisait. Ils ont bu un café, grignoté quelques restes de la veille. Puis elle l’a chassé, pressée de remettre tout en ordre avant le retour des enfants. Ces derniers ont trouvé une maison étincelante, mais surtout une mère souriante. Elle leur a interdit d’aller déranger Franc qui avait beaucoup de travail en retard. Leur complicité est merveilleuse, ils sont intimes, se retrouvent pour leur satisfaction commune quand les enfants ne sont pas là. Mais tous deux savent bien qu’il s’agit seulement de plaisir, leur situation, leur âge, leur parcours sont trop différents. Et surtout qu’il ne s’agit pas d’amour. Les enfants, inconscients du changement dans les rapports des adultes, sont ...