1. La rencontre


    Datte: 24/07/2018, Catégories: fh, fplusag, jeunes, boitenuit,

    ... On a une semaine de travail ; aujourd’hui, c’était le premier jour. Nous devons finir mardi, mais vendredi soir on rentre pour le week-end et nous revenons lundi.— Marc, vous me plaisez ! Je suis ravie que vous soyez resté avec moi.— C’est sympa ! Moi aussi, vous me plaisez. Je voudrais être seul avec vous. Pourquoi n’irions nous pas dans votre chambre ?— Désolée, mais je ne peux pas vous y emmener : tout le monde me connaît dans l’hôtel.— Oui, mais ici ce n’est pas très intime, et ce serait mieux si nous avions un peu plus de confort. Et puis, on pourrait se tutoyer, non ?— Nous nous connaissons à peine… Je ne tutoie pas facilement, vous savez ! C’est vrai qu’on venait de se rencontrer. Mais si elle était réticente pour dire « tu », elle laissait le premier venu mettre sa main dans sa culotte ! Curieux… Finalement, « tu » ou « vous », dans sa chambre ou ailleurs, peu importe : il fallait que je la baise. Je me jetai sur elle pour l’embrasser dans le cou, puisqu’il semblait que c’était son point faible. En même temps, ma main plongea entre ses cuisses pour atteindre sa culotte que je trouvai trempée de mouille. — Attendez, Marc, attendez ! dit-elle, haletante. Une seconde… Je… je l’enlève. Je lui laissai ce répit. Je voulus recueillir le triangle de dentelle pour le mettre dans ma poche et le ramener comme un trophée, mais elle refusa de me le céder et le glissa dans son sac. Lorsque ce fut fait, elle s’attaqua à ma braguette d’où, avec dextérité, elle sortit ma verge bandée. ...
    ... Pendant qu’elle me branlait doucement, j’investis à nouveau son entrecuisse dégoulinant de liqueur gluante. Quelques caresses la mirent dans tous ses états. Elle gémissait et semblait prête à jouir. Je la fis se lever pour remonter à nouveau sa jupe jusqu’à la taille. Elle se pencha vers l’avant, m’offrant sa croupe, et guida de sa main ma verge bien dure vers sa raie. Elle était tellement bien lubrifiée que je n’eus pas à chercher mon chemin. Ma bite s’enfonça en elle comme dans une motte de beurre chaud. Sous la pénétration, elle gémit et se cambra. La prenant aux hanches, je me mis à la baiser avec ardeur. Je crois que dès le moment où je me suis introduit en elle, elle eut un orgasme. Sa chatte sécrétait sans arrêt une abondante liqueur. Son vagin n’était pas très serré autour de ma bite, mais j’avais l’impression d’une caresse douce et soyeuse. Ses orgasmes se succédaient presque sans discontinuer. Elle en eut de nombreux car il me fallut quelques longues minutes d’allers et retours dans sa chatte pour éjaculer. J’étais en effet habitué à des vagins plus serrés et moins bien lubrifiés. Finalement, je me déversai en elle à longs jets de sperme. Tout le temps que dura mon orgasme, je la maintins fermement aux hanches, mon sexe complètement enfoncé au fond de son intimité. Lorsqu’enfin nous nous séparâmes, elle se retourna vers moi et, passant ses bras autour de mon cou, me susurra doucement d’une voix un peu rauque : — C’était merveilleux, mon chéri ! Je sens que ça coule ...
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