1. 51- Charmant guet append et ma femme entre en jeu :(3) :


    Datte: 24/07/2018, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... mon zob adore ta douce terma ! mieux que la chatte de ta femme ! viens ! ). Et, me poussant dans la petite chambre il ajouta : « ma t’khafach ! 3andi léssence ! mazal fi qlawya ! chouf zébi ! haou m’ta’nane ! » ( ne crains rien ! j’ai de l’essence ! encore dans mes couilles ! regardes mon zob ! il est déjà gonflé !). Il avait raison au moins sur un point, c’est que la vision de ce zob déjà gonflé suffisait pour démanger et affamer ma terma qui commençait à se lubrifier toute seule. On est rentré dans la chambre et j’ai simplement glissé mon pantalon. Ensuite, lui tournant le dos, à genoux sur le lit, je lui ai abandonné mon cul pour finir la soirée. Et lui, sans état d’âme, il souleva sa gandoura pour la tenir avec sa bouche, il se pointa derrière moi et enfonça son gros zob dans mes entrailles. Et il a tenu parole ! Il m’a sodomisé deux fois de suite, presque sans s’arrêter ! Dès qu’il a terminé et éjaculé dans la première fois, et sans me laisser le temps d’aller me nettoyer, il a opté pour une seconde sodomie. Me couchant, le dos sur le lit, il me souleva les jambes et j’ai écarté largement mes cuisses en soutenant mon zob pour lui laisser le chemin libre de mon cul. Mon anus d’où suintait son sperme était face à son désir inassouvi. Son zob n’avait pratiquement pas fléchi après son éjaculation, il était toujours dur comme un barreau de fer. Et, sans tarder, il l’enfonça avec violence dans mon anus qu’il traversa avec facilité jusqu’au buter dans le fond de mes ...
    ... entrailles. Une dizaine de vas et viens, des tapes affolantes de ses couilles sur les dessous de mes cuisses, et pas mal de cris et de cochonneries, comme à son habitudes : « 9ahba ! 3ataya ! haki zébi ! ag’3ar lou teremtou ! assguiha ! » (putain ! pédé ! tiens mon zob ! défonces lui la terma ! étanches la !). Et enfin, il finit par éjaculer de nouveau. Bizarrement, sa seconde éjaculation était nettement plus nombreuse ( quatre ou cinq au lieu de trois) et plus abondante que la première. Il gueula tellement que j’avais peur que tout l’hôtel ne l’entende, ainsi que ma femme. Il m’a dit : « souwate martak kanate casscroute 3ala zébi ! teremtek gham9a ou s’khouna chab3atli zébi ! oukhssara t’rou7ou ghoudwa ! » (la chatte de ta femme a été un casse croute pour mon zob ! mais ta profonde et chaude terma a mieux rassasié mon zob ! dommage que vous partiez demain !). Je vous disais que cet homme, pourtant de comportements naturels, avait une bite, à mon sens, anormale. Et c’est dommage que demain, nous devons le quitter, sinon, on aurait voulu continuer à profiter des ses prouesses sexuelles. Après, j’ai passé le reste de la nuit auprès de ma femme, dont l’attitude était naturelle et qui n’a pas soufflé un mot de sa soirée. Maintenant, ni moi ni elle, n’avons à cacher nos tendances et nos désirs et nous allons en profiter entre nous et avec d’autres amants, peut-être même communs. Aziz a été notre catalyseur sexuel bénéfique. Le matin, on a prit le petit déjeuner avec Aziz qui a appelé, ...