1. Les émois de Valériane - 2/3


    Datte: 24/07/2018, Catégories: fh, hplusag, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, attache, totalsexe,

    ... et léger. Je ne l’imaginais capable ni de l’un, ni de l’autre et je comprends que par eux, il m’adoube en pair. Je tiens auprès de lui ensuite deux mois durant le rôle de maîtresse et nous écumons les restaurants chics selon un protocole désormais parfaitement rodé. Il adore m’exhiber en public ou plus exactement s’y exhiber avec moi. Quand je dis exhiber, il ne faut pas comprendre le mot dans son sens faible, non les toilettes dont il m’affuble sont de plus en plus légères et transparentes et je ne mets presque rien, ou si peu, en dessous. Ce sont des linons très fins, des soieries si transparentes que plusieurs fois je crains qu’on ne nous refuse l’accès à la salle. Il veille pourtant au bon ton, à l’élégance de l’ensemble et je ne pense pas avoir été prise à un quelconque moment pour une péripatéticienne. La constante de ces tenues, c’est qu’elles se boutonnent toutes sur l’avant et se déboutonnent au fil du repas et de la soirée selon des gages, des défis variés ou suite à des propos fortement sensuels. Et moi de jouer les pudibondes et les timides, m’en amusant fort car en fait, je ne le suis plus guère et raffole fixer sur moi pendant un instant, l’attention de l’assistance entière. Durant ces dîners, il me tient des discours si salaces qu’ils m’enflamment terriblement et que plusieurs fois, à sa demande ...
    ... mais autant pour mon plaisir, je me caresse au travers de ma robe au point d’en jouir secrètement. Ce n’est peut-être pas là le mot exact, car cette discrétion n’empêche ni l’altération de ma face, ni de petits piaillements que je ne sais retenir. Après quelques temps, je veux lui rendre la monnaie de sa pièce. Des copains ont ouvert une gargote qui ne compte guère pour le moment qu’une clientèle d’amis et ce soir, ils en ont écarté d’éventuels autres consommateurs. Je lui fais croire que lorsqu’au milieu de l’apéritif la lumière s’éteint, tous les clients se déshabillent et ne gardent au mieux que leur sous-vêtement. Il s’engouffre sans réticence dans le traquenard mais lorsque les lampes se rallument, il est le seul convive dénudé, les autres, informés du canular n’ayant que simulé des bruissements d’effeuillage. Imperturbable et grand seigneur, il fait mine de ne rien remarquer et pousse jusqu’à me décrire dans tous les détails les seins de la jeune fille qui, deux tables plus loin, n’a évidemment pas même retiré son blouson. Tout ceci est fort amusant et je ne compte pas le nombre de mes culottes dont il doit enrichir sa collection. Pour facétieux et plaisants qu’ils soient ces jeux me laissent cependant un grand vide car l’artifice y domine de trop et je me prends parfois à regretter les tendresses d’Albin. 
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