Épisode IV : Études comparatives...
Datte: 24/07/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
rousseurs,
fsoumise,
strip,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
attache,
Nous vivions tous les trois ensembles depuis une semaine. Je m’étais abruti dans le travail en remplacement d’un collègue malade et ne revenais que pour dormir. Alors qu’un soir je mangeais tard, Marianne vint me tenir compagnie, elle avait l’air de s’ennuyer ferme et attendait avec impatience un appel d’une amie. Nous fîmes plus ample connaissance, puisque la dernière fois, j’avais découvert l’aspect physique sans l’aspect mental. Nous avons discuté d’elle, de ses projets et de ses études. De ses amies. Elle n’avait jamais eu de baise torride et sans sentiment avant la nôtre. Je fus un peu flatté de savoir qu’elle s’était ainsi libérée avec moi, mais je crus qu’elle ne s’accrochait à cette idée que pour la transformer en un amour que je ne désirais nullement. Au fil de la conversation, je compris qu’elle avait apprécié, mais qu’elle ne pouvait développer de plus sincères sentiments (je me fendis d’un sourire, acquiesçant moi aussi) et qu’en fait, cette libération après une relation d’un an et demie de couple, était à la fois salvatrice et intrigante. Nous parlâmes sexe plus ouvertement alors. Elle aimait son corps, surtout ses seins qu’elle estimait parfaits – ce que j’affirmai moi-même – et elle aimait les utiliser pendant la baise. Marianne m’avoua que son désir soudain pour moi l’avait troublée et qu’elle n’avait su comment m’approcher et fut soulagée de me voir prendre la direction des évènements. Elle me dit que dans le futur, peut-être pourrions-nous à nouveau ...
... baiser. Elle ne se sentait pas très bien ces derniers jours et repoussa les avances que je lui fis en blaguant. Son dernier regard vers moi confirma qu’elle était réceptive, mais elle alla tout de même se coucher, non sans venir me faire la bise, posant une main sur mon poitrail. J’étais saoulé de fierté. Le soir suivant, ce fut au tour de Sandra de m’accompagner dans le salon pour nous avachir sur les banquettes, observant les passants sur le trottoir. Je sentis un certain malaise dans ses cafouillages alors qu’elle m’avouait que je lui donnais beaucoup de plaisir et que si ce soir elle ne me sautait pas dessus, c’était parce qu’elle n’était pas en état. Je respectai tout à fait cette décision et elle me dit aussi que notre première baise, dans la salle à manger, restait mémorable et qu’elle avait beaucoup apprécié la sodomie, encore plus qu’habituellement. J’étais très excité et je bandais déjà quelque peu. Le téléphone sonna. Je décrochai et une adorable voix à l’accent américain demanda dans un français presque parfait : — Sorry, Sandra est là ? Je passai le combiné à ma belle rousse, en lui annonçant que c’était une suave américaine. Son visage s’éclaira et tandis que je la regardais, toute heureuse, elle se remémorait des souvenirs de ses stages à Boston. Après quelques minutes, elle dit à son interlocutrice : — Wait, I’m asking him ! (Elle se tourna vers moi.) J’ai une amie qui vient à Montréal dans une semaine pour visiter. Elle va commencer un certificat en danse ici, en ...