Épisode IV : Études comparatives... - Histoires de Sexe

Épisode IV : Études comparatives...

... automne. On pourra l’héberger quelques temps ? Je hochai la tête, elle était chez elle et invitait bien qui elle voulait. — Mais heum… quelques temps, c’est un peu large par exemple. Je dressai un sourcil. — Elle va venir passer l’été ici et étudier en automne, m’annonça Sandra.— Et où veux-tu qu’on la mette ?— Tu sais, le « gymnase » au sous-sol ? Nous avions aménagé la pièce libre en gymnase, avec mes poids libres et un vélo. La garde-robe y était immense et on s’en servait de débarras. J’hochai de la tête, me doutant bien de la suite. — Bien, on pourrait peut-être lui louer ? Je me crispai un peu. J’avais droit de véto sur le logement et quelle qu’ait été ma décision, il fallait aussi que Marianne dise son mot. Réduire plus encore mon loyer n’était pas sans me déplaire, mais à vrai dire, avoir une américaine pro-Bush dans les pattes ne m’enthousiasmait pas, alors là pas du tout. — Elle est comment ton américaine ? demandai-je, question d’en apprendre sur elle. Sandra sourit. — Heum, plantureuse, belle, baisable, c’est ce que tu veux, non ? Je ris : — Oui… enfin, elle a d’autres qualités ?— Elle déteste Bush !— Elle peut venir visiter, qu’on la mette sous observation, annonçai-je. Sandra rit à cette remarque. — Yeah, sweety ? You can come… When ? Hum, hum… Okay. I’m already waiting for you ! Bye ! Elle raccrocha. — Alors… C’est qui elle ? m’enquis-je, question de me faire une idée.— Elle s’appelle Andrea. Elle danse depuis longtemps. On a prit des cours de baladi ...

... ensemble. C’est elle la bisexuelle dont je t’ai parlé. (Mon sang fit un tour à cette nouvelle) Elle est très intelligente, elle est de gauche, elle aime les spaghettis !— Formidable… fis-je sarcastique. Sandra ébaucha un sourire amusé. — Elle parle bien français ?— En fait elle est polyglotte, elle parle très bien : français, espagnol et prend des cours de portugais.— Bon, ben on verra bien ça.— Cool. J’vais m’coucher. Bonne nuit, fit-elle en s’approchant de moi, me serrant le bras, approchant sa poitrine de mon épaule pour me faire la bise. Elle traversa le salon en se dandinant, et arrivée sur le coin, commença à ôter son chandail, me dévoilant son dos et ses flancs pâles. Elle disparut pour me laisser seul avec l’érection qui se déployait dans mon sexe, alors que j’imaginais le reste du strip-tease et ce qu’elle ferait ensuite, seule dans sa chambre. Cette semaine passa donc sans que je voie ni Sandra, ni Marianne plus de quelques minutes. Enfin, ce samedi soir mémorable arriva. Je rentrai vers 18h00 et me fit couler un bain, profitant de ma solitude. J’avais besoin de me détendre, et vite. Je me servis un plat rapide que je dégustai pendant la bonne heure que je restai plongé dans l’eau. Je sentis mes muscles se détendre enfin et je me relaxai allégrement. Torse nu – il faisait déjà assez chaud et humide dans ce mois de juin – je sortis de la salle de bain vêtu de mon éternel jean qui commençait à défraîchir. Je marchais pieds nus, vers la cuisine, quand j’entendis la porte ...