1. Épisode IV : Études comparatives...


    Datte: 24/07/2018, Catégories: fh, jeunes, rousseurs, fsoumise, strip, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, attache,

    ... s’ouvrir (et se fermer, ça aide). Sandra passa en coup de vent, puis, elle se rendit compte de ma présence et ralentit, me gratifiant d’un bonjour joyeux. Quelque chose s’était allumé dans son regard. Elle s’avança vers le frigo, mue par une envie qui me parut très soudaine, et se pencha à l’intérieur pour se servir un verre d’eau fraîche. Elle fit étalage de ses fesses rebondies et magnifiques, où j’aperçus sans mal la marque d’un string et même, elle écarta un peu les jambes pour laisser ses survêtements moulants prendre la forme de son sexe. Sandra usa de toute son habileté pour se mouvoir lascivement, la tête plongée dans le frigo. Une fois sortie – je ne me souvenais pas avoir mis la carafe si loin –, elle but un long verre d’eau, bombant un torse que je vis se soulever à chaque longues respirations. Elle devait déjà être excitée car je vis les pointes de ses mamelons s’hérisser contre le tissu. J’eus une poussée de chaleur et mon sexe, lui, se tendit à faire craquer boxer et jean. Mais elle ne joua pas longtemps : de sa démarche féline, elle prit la direction de sa chambre, me jetant un dernier coup d’œil avant de disparaître. L’offre m’apparut claire. Je me frottai les mains avec satisfaction et prit la direction de sa chambre. Passant devant un miroir, je fus rempli de fierté d’avoir pu baiser avec Sandra et Marianne, deux femmes magnifiques, et je me surprenais à ce que Sandra le désire encore autant. Mon érection s’était à peine tarie dans mon pantalon et arrivé à ...
    ... sa chambre, je cognai. Un « oui » fébrile, un peu tremblotant mais aux accents soulagés me dit d’entrer. Je me demandais si nous allions jouer la comédie ou passer vite aux actes, je restais donc aux aguets, toujours prêt à jouer le jeu. Sandra était assise devant son ordinateur qui démarrait lentement, à droite de l’entrée. Elle avait un regard de braise et son visage rougissait. Je m’approchai à pas lents, pieds nus sur la moquette. Arrivé derrière sa chaise, je me penchai vers elle et lui demandai ce qu’elle faisait. Je mis une main sur son épaule que je commençai dès lors à caresser délicatement. Elle me répondit, entre deux frémissements, qu’elle attendait que son dinosaure d’ordinateur daigne s’ouvrir. Je fis alors glisser ma main vers sa clavicule, puis vers le cou et le centre de la poitrine. Je descendis encore, sentant sa respiration s’accélérer et passai ma main sous son t-shirt fin, entre ses beaux seins ronds et fermes. Je les sentais qui pressaient mes doigts ensemble. Je luttais pour lui écarter les nichons et en gratter doucement l’intérieur du bout des doigts. Les yeux un peu dans le vague elle s’est reculée sur sa chaise, me laissant plus d’espace et bomba le torse. Elle me regarda, un mélange de stupéfaction, de désir et de soulagement. Elle me provoqua toutefois, d’une voix chancelante : — Mais… qu’est-ce que tu fais ? C’est à ce moment que ma main vint englober un sein et le malaxa fortement. Elle lâcha une plainte qui se voulait un peu outrée, mais se ...
«1234...12»