Épisode IV : Études comparatives...
Datte: 24/07/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
rousseurs,
fsoumise,
strip,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
attache,
... bords, puis descendit la culotte tranquillement à ses pieds, sur ses souliers à talons hauts. Elle leva une jambe, passa le pied, posa son soulier qui cogna le bois, leva l’autre jambe, passa l’autre pied et laissa la culotte tomber là. Elle écarta les jambes et me regarda avidement. Elle était magnifique debout, en bas et talons hauts, une jambe fléchie pour faire courber son corps. Je la fis reculer. Elle buta contre mon lit et tomba assise dessus. J’étais fou d’envie, je voulais son corps et je la désirais jouissante et heureuse. Mais elle suçait trop bien et en tirait trop de plaisir pour que je m’en prive. Je pris à nouveau sa tête dans mes mains et lui fit reprendre ma queue en bouche. Elle serrait ses lèvres douces sur mon sexe, l’embouchant profondément. Elle le sortit et en même temps que sa langue agile parcourait la longueur de mon sexe dur, elle se mit à me masser les couilles. Je m’abandonnais à ses mains qui me caressaient et me branlaient sans relâche, à cette bouche qui me suçait. Le plaisir montait très lentement vu ma jouissance antérieure et je voyais ses seins qui étaient tendus fièrement. Elle me surprit en me prenant jusqu’à la garde dans sa bouche et mû par mes pulsions, je pistonnai cette bouche un instant, ne manquant rien du spectacle de ses seins qui s’agitaient à chaque coup. Elle me sortit un instant, me branlant lentement, son regard dans le mien tandis qu’elle se léchait les lèvres. Marianne allait me reprendre en bouche, mais la vue de ses ...
... seins me faisant trop d’effet, je la fis s’agenouiller devant moi et je passai ma queue sur sa poitrine. Marianne prit ses seins en main et les écarta, laissant passer ma queue. Puis, elle les comprima l’un contre l’autre. J’ahanais alors qu’elle s’élevait et descendait sur mon sexe luisant. J’agaçais les pointes ou massais cette peau tendre avec application. Elle me regarda, désirable, et sortit la langue pour la passer sur mon gland dès qu’elle le pouvait. Ma queue grandit encore, maintenant pleinement excitée et Marianne ralentit l’allure de sa branlette pour pouvoir sucer mon gland plus longtemps et le mordiller légèrement. Je découvrais de plus en plus Marianne très gourmande, contrastant avec Sandra qui était plutôt passive. Mais là, bandé entre ses seins, j’eus envie de la prendre très vite et férocement. Je n’oubliai toutefois pas son plaisir. Je m’écartai d’elle, libérant ma queue et lui dit de s’étendre sur mon lit. Elle s’étendit de tout son long sur le dos, les fesses toutes près du bord, les cuisses écartées largement. Je m’installai entre ses jambes et, les saisissant aux chevilles, je lui pliai les genoux. J’approchai ma bouche de son sexe trempé et l’observai. Elle se caressait un sein fortement, pinçant les tétons, l’autre main caressant son cou. Elle passa son index sur les lèvres et, doucement, le mordit, empêchant à peine ses gémissements. Je passai ma langue tout au long de son sexe et mordillai ses lèvres douces et goûteuses. Elle ronronnait maintenant comme ...