1. Épisode IV : Études comparatives...


    Datte: 24/07/2018, Catégories: fh, jeunes, rousseurs, fsoumise, strip, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, attache,

    ... savais trop comment la laisser, je ne voulais pas paraître brutal ou lui donner l’impression de m’être vidé en elle. À nouveau, elle sauva la situation. D’une voix alanguie et voluptueuse, elle me dit : — Va donc te laver, t’es en sueur. Moi j’me couche dans cinq minutes. Ses yeux brillaient et elle se caressait les seins, langoureuse, tandis que je ramassais mes vêtements et sortais de la chambre. Je me demandai s’il s’agissait d’une invitation, mais je pris néanmoins, rassasié, la direction de la salle de bain. Il était un peu passé minuit quand j’entendis quelqu’un entrer. Des pieds marchèrent rapidement sur le parquet en claquant et arrivé à la hauteur de ma chambre, je vis les belles courbes féminines du corps de Marianne entrer dans la lumière de ma chambre. — Bonsoir ! me lança-t-elle.— Salut. Tu arrives d’où comme ça ?— D’une party emmerdante à souhait. J’ai préféré revenir, avant de me saouler. J’ai rien en tête, mais quoi que se soit, ça va être meilleur que là-bas. Je lui souris. Elle décida d’entrer dans ma chambre, d’une démarche tout à fait excitante, faisant raisonner ses talons à chaque pas. Et s’assit sur mon lit. Marianne était moins sensuelle que Sandra, mais plus sauvage et vorace. Elle s’assit en cuiller sur mon lit, le buste relevé. La jupe beige, courte et fendue sur le côté, laissait à nu sa cuisse, qui était recouverte d’un bas noir et elle était très excitante. Elle promenait sa main le long de ses flancs, les yeux balayant ma chambre. Son autre ...
    ... bras était étendu sous sa tête. Son gilet noir sans manche et à boutonnière découvrait largement son épaule, son aisselle ; son décolleté plongeait entre ses seins, sans trop en dévoiler et le tissu les comprimait de façon très excitante. Son visage était rouge. Excitation ou alcool de la soirée ? Reste-t-il que malgré une jouissance formidable quelques heures plus tôt, dans le cul de Sandra, je sentais mon sexe se ressaisir. Mon jean se déforma encore. Elle y loucha d’ailleurs le bref instant où elle posa son regard sur moi et sourit, l’air satisfaite. Je me levai et m’assis derrière elle, sur mon lit. Je posai ma main sur ses jambes, que je caressai longuement, mon sexe gonflé contre ses fesses. Je remontai rapidement sur ses cuisses, puis sous la jupe où je trouvai une culotte douce et humide. Je frottai le bout de mon doigt contre le tissu, le faisant entrer dans sa fente. Puis elle se leva et sembla vouloir quitter ma chambre, allant vers la porte, elle me lança un regard plus qu’excité avant d’atteindre la sortie. Je la suivis et juste avant le seuil, je saisis ses hanches que je tripotais pour ensuite l’écarter de la porte et me placer devant. Sandra s’était offerte à moi, luttant pour m’exciter, j’avais envie de la même autorité. — Viens ici, dis-je d’une voix ferme et tendre. Elle approcha. Une fois à ma portée, je saisis ses hanches et l’immobilisai. Mes bras étendus, je posai mes mains sur ses seins et les malaxai avec force, comme elle l’aimait. Les yeux pleins de ...
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