1. Colette, le plaisir à fleur de peau... (1)


    Datte: 25/07/2018, Catégories: ffh, inconnu, magasin, collection, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation init,

    ... la lumière, et nous rend invisibles de la rue. Sous cette lumière naturelle, chaude, filtrée, le bronze se teint lui aussi d’une aura orangée qui accentue les contours, met en reliefs les détails. Instinctivement, je me déplace légèrement sur le côté et mes doigts se posent langoureusement sur le bras qui tient la serviette. Colette, s’est retournée et m’observe. Le bout de mes doigts, électrisé par le contact, remonte et descend le long des muscles du bras, coulés dans le bronze, tandis que mes yeux font la navette entre la statue et Colette, modèle vivant qui est là, à deux pas de moi, me sourit et m’observe. Quelle sensation bizarre, étrange. Je caresse cette statue tout en ayant l’impression de caresser le modèle vivant. Colette appuie ses épaules contre le pan de mur qui sépare la porte d’entrée de la vitrine. Elle place ses mains, derrière ses fesses, les appuyant elles aussi contre le mur. Les deux pieds bien à plat sur le sol, légèrement en avant. La tête appuyée sur le mur, tournée vers moi, elle m’observe. Dans la douce pénombre qui a envahi l’espace, je distingue son regard. Un regard qui a quelque chose de narquois, de moqueur, d’ambiguë. Alors commence, entre elle et moi, entre elle, moi et la statue un étrange ballet, fait d’effleurements, d’affleurements, de caresses, plus ou moins appuyées, plus ou moins osées. Seules mes mains touchent la statue. Je ne la regarde plus avec les yeux, seulement avec la peau de mes doigts, de mes paumes de mains … Je plante ...
    ... mes yeux dans ceux de Colette qui a … quatre pas de moi, accroche mon regard et ne le quitte plus. Mes doigts vont et viennent sur le bras, remontent au creux du biceps, abordent la rondeur de l’épaule, descend sur l’accroche du sein. La main s’y fait enveloppante, câline, douce. Les doigts, excités par le jeu et le contact un peu rugueux, par endroits ou lisse en d’autres, cherchent le téton. Éternellement dur, il tend sa pointe grenue à mes doigts, qui se dépêchent de le presser, le pincer, le vriller, le rouler, comme si il allait réagir, je cherche à l’exciter. Colette, au touché de mes doigts sur la statue, pince le nez, entre ouvre légèrement sa bouche et je perçois une respiration qui se ralentit, devient plus sifflante… Elle tire sa main de dessous ses fesses et sur ses vêtements, du bout de ses doigts longs, fins, manucurés, elle refait, imite, copie et reproduit mes gestes sur son corps … La pointe des seins surgit, dure, sous la dentelle de son soutien-gorge. La respiration se fait encore plus haletante, sifflante. Sa main est mienne. Si je vrille la pointe, elle se tord le bout de son téton; pâlit, gémit sous l’emprise des pinces de mes doigts qui s’acharnent sur la statue et doivent déclencher de longues ondes de plaisir dans son corps vivant. Je reste un long moment à jouer avec mes doigts sur leur poitrines … Oui, leur poitrines … Situation originale … je caresse le bronze et entend la respiration du modèle vivant … Mes doigts jouent avec le bronze froid et ...
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