Colette, le plaisir à fleur de peau... (1)
Datte: 25/07/2018,
Catégories:
ffh,
inconnu,
magasin,
collection,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Masturbation
init,
... immobile et déclenchent, à distance, par procuration, du plaisir à la chair chaude, du modèle. Mon excitation, mon érection qui débutait il y a un instant est maintenant largement développée. Mon sexe, pressé, coincé, palpite. Je n’ose le toucher tant il me semble sensible, réceptif, sur le point d’exploser. Et le jeu continu, de plus en plus provocateur, de plus en plus osé, de plus en plus dangereux … Sans quitter la prunelle de Colette je suis, en vision marginale, sa main qui joue avec son corps, au rythme de mes caresses sur son autre corps statufié. Ma main abandonne les seins de bronze, descend avec une lenteur contenue et mesurée vers le ventre. Bien à plat, elle caresse et épouse sa rondeur, en éprouve la tension, en cherche la contraction des muscles avant de glisser vers les profondeurs de l’entrejambe. Mes doigts s’infiltrent sur son intimité, contact froid et râpeux du métal grossièrement ciselé, non poli. Pourtant, mes doigts semblent y chercher des zones précises. À l’aveugle, ils caressent, s’étirent, tournent, furètent, s’approprient les lieux, les investissent. Ils voudraient aller plus loin, trouver ce clitoris, bouton à déclencher le plaisir, la jouissance. Ils voudraient ouvrir cette vulve, à peine esquissée, pour la pénétrer, sentir son humidité, éprouver sa chaleur, lui donner du plaisir, la faire jouir. Tandis que mes doigts s’énervent dans l’ombre des jambes éternellement entre ouverte sur une esquisse d’intimité, la main de Colette a investit son ...
... entrejambe vivant. Sur son pantalon de toile grège, les genoux légèrement fléchit, la main dessine des arabesques, identiques à mes gestes. Elle énerve son mont de Vénus, descend vers sa vulve, protégée par les tissus… et d’un doigt en dessine le contour, suit le sillon des lèvres, remonte vers le clitoris, le frotte. Colette, se mord les lèvres. Sa respiration se fait plus difficile. J’aperçois sa main, calée sous ses fesses, contre le mur, qui se forme en un poing fortement serré, avec ses phalanges qui blanchissent. Déjà, elle ahane, elle geint à chaque passage de son doigt sur son clitoris. Doucement, elle se laisse glisser le long du mur et s’accroupie, les jambes largement écartée, accentuant la pression de ses caresses. La tête appuyée sur le mur, les yeux fermés, elle pousse de longs soupirs de plaisir alors que sa main va-et-vient sur son sexe de plus en plus vite et que de l’autre, elle a empoigné son sein dont elle triture le mamelon avec force. A regret, je laisse le corps de bronze de la statue et m’approche de Colette, assise sur ses talons. Elle lève vers moi son regard noisette, lâche son sein et tend sa main vers mon sexe, tendu et compressé. D’une main agile, rapide et pressée elle défait mon pantalon et je sens ses doigts courir sur ma hampe dure qui palpite à ce premier contact. Du bout des ongles, elle l’agace, l’excite, lui fait relever la tête. Puis, elle le sort et se redresse légèrement pour le porter à sa bouche. Le contact des lèvres autours du bout de ...