L'enfer n'est pas celui qu'on croit
Datte: 25/07/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
hagé,
extracon,
handicap,
bizarre,
sales,
soubrette,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
intermast,
Oral
fdanus,
init,
ecriv_f,
... dieu de salope, c’est ce que j’appelle avoir une grosse envie ! Et si tu t’occupais de ma pignole ? J’crois bien qu’t’as réussi à la faire durcir. J’ai retiré mon petit haut et dégrafé mon soutien-gorge. Je voulais être entièrement offerte, soumise à ses désirs, entièrement nue toute à ses pieds. Puis je me suis attaquée à son pantalon pendant qu’il torturait mes seins avec ses doigts calleux. Avec un peu de mal pour le déshabiller : il ne m’aidait pas trop. Mais, à force de patience, je lui ai finalement enlevé son pantalon et son slip. Son membre était encore un peu mou. Gros, imposant et noueux, il sentait très fort la pisse. C’était une horreur, mais ça m’excitait terriblement. Je l’ai senti un court moment puis je l’ai pris tout de suite en bouche. Je le suçais, je l’aspirais, je le faisais glisser entre mes lèvres. Ma langue parcourait son gland, excitait le gros méat puis glissait le long de la hampe, jusqu’aux couilles que je gobais, une à une, avant de retourner l’emboucher à nouveau. Puis, tout en le branlant délicatement avec mes doigts, j’entrepris de le pomper avec entrain. Lorsque je le sentis encore durcir dans ma bouche, j’en fus tout excitée et je me mis à le sucer d’autant plus fort. Finalement, en érection, il n’était pas si gros que ça et il n’y avait pas tant de différence avec sa taille au repos. J’en fus un peu surprise, peut-être un peu déçue. D’autre part, cela me faisait vraiment bizarre de sucer un homme avec une jambe en moins, j’étais tout près ...
... de son moignon : cette impression de vide, inquiétante, douloureuse, et ce besoin de m’appliquer encore plus pour combler cette invisible souffrance. Il m’avait pris la tête, il me guidait la bouche. Pour lui, je n’étais qu’une « suceuse de bite », une « avaleuse de foutre », une « pute », une « catin », une « traînée », une « obsédée », une « grosse vicelarde », un « trou à boucher ». Je voulais bien être tout cela, et même bien plus encore. Entre deux insultes, je l’entendais gémir, ça me faisait du bien, je le sentais venir, c’était bien mieux encore. J’ai redoublé d’intensité sur sa « pignole », comme il disait. Il m’a maintenu fermement la tête pour que j’avale toute sa liqueur, j’ai presque failli étouffer en buvant son jus. — Ahhh ! la bonne bonniche bien vicelarde ! a-t-il conclu en reprenant ses esprits. Le seul problème, c’est que moi j’avais encore envie. Alors je me suis remise debout devant lui et me suis branlée sans complexe, face à lui, tout en le regardant. J’avais envie qu’il me lèche, j’avais besoin qu’il me fouille. Je me suis assise, cuisses écartées, sur la table. Il ne comprenait pas, il avait besoin que je sois explicite : — Léchez-moi, j’ai encore le sexe en feu.— Bon dieu d’salope. Rarement vu bonniche aussi vicelarde ! Il a approché son fauteuil et s’est glissé entre mes cuisses. Je me suis cambrée en arrière pour mieux offrir ma vulve. — Hummm, la belle moulasse ! Ca sent la femelle en rut. J’vais t’la bouffer, ta conasse. Il n’y allait pas par ...