L'enfer n'est pas celui qu'on croit
Datte: 25/07/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
hagé,
extracon,
handicap,
bizarre,
sales,
soubrette,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
intermast,
Oral
fdanus,
init,
ecriv_f,
... quatre chemins, je sentais sa langue râpeuse m’investir l’entrecuisse et avaler mon con mouillé, une main posée sur chaque cuisse. Il mangeait bien. Des années que l’on ne m’avait pas mangée ainsi, à pleine bouche. J’avais envie que ça dure longtemps, peut-être toute la journée, qu’il me fasse jouir à répétition avec sa bouche. Il avait l’habitude de lécher les femmes, il n’oubliait pas mon petit bouton, il était plus doué pour ça que pour la branlette. Mais, quand il a ajouté ses doigts, ce fut encore bien mieux : je devins soudain « femme fontaine », je coulais sur lui en prenant jouissance. L’orgasme fut fulgurant, il but toute ma liqueur. Etais-je rassasiée ? Je ne saurais trop dire. J’aurais beaucoup aimé que cela dure beaucoup plus longtemps, éternellement ! Je me suis allongée entièrement nue sur la table. J’étais à sa merci, le plat de résistance d’un gros festin paillard, il pouvait faire tout ce qu’il voulait de moi, il avait toutes latitudes. Mais il s’est contenté de me toucher, de me palper un peu partout en me traitant de tous les noms. J’étais une moins que rien, une grosse salope qui aime se faire des vieux, une bonniche à piner. « OUI, j’étais tout ça, j’étais cette sombre chose… et alors ? ». Je voulais bien être tout, maintenant que j’étais enfin quelqu’un. J’ai regardé la grosse pendule. Merde, je devais aller chercher ma fille au lycée, j’étais déjà très en retard. Je me suis relevée, heureuse et satisfaite, je me suis rhabillée en silence. Je lui ai ...
... laissé les résidus de ma culotte. La bonniche vicieuse avait fini sa journée : — À demain, monsieur Junaut. Le soir-même, nous avions un repas prévu entre amis. Nous étions invités chez des gens charmants, très mondains, qui adoraient la musique classique. Et je faisais bonne figure, comme le font tous les « aliens » qu’on parachute sur la planète, mais je vivais en secret dans un monde très à part. Un peu l’impression d’être une ethnologue en mission dans un coin reculé, à l’écart de toute civilisation. Les autochtones de cette contrée riaient, buvaient, parlaient. Ils avaient parfois de drôles de mœurs. Mon fils Gatien a piqué sa crise : l’adolescence dans toute sa splendeur ! Son père l’a remis fermement à sa place. C’est ce qui a déclenché le drame. Car, Franck, un peu plus tard, en se tournant vers moi : — Je ne comprends pas que tu ne dises rien, que tu ne fasses rien, que tu restes assise comme ça…— Mais arrête de l’enquiquiner, c’est de son âge, laisse-le donc vivre un peu. La discussion s’est envenimée jusqu’au fameux : — Stop, ça suffit, tu m’agaces. Si tu continues, va te faire f… Va te faire quoi ? Je voulais dire quoi au juste ? Les indigènes me regardaient, incrédules, ils n’avaient pas l’air content du tout. Tout ceci devait probablement être contraire aux coutumes du pays ! Dans la voiture du retour, mon mari avait ajouté : — Ton attitude est inqualifiable. C’est certain, il avait raison. Mon attitude était inqualifiable : Je m’étais fait baiser toute la matinée ...