FELL 01
Datte: 25/07/2018,
Catégories:
Masturbation
PAS FACILEVallisnériaCe que tu préfères, c’est quand je te suce. Tu me laisses faire. Chaque fois que j’ai envie. Tout le temps. N’importe où. Partout. T’as qu’une chose à faire, c’est de bander. Si on est au troquet, je me glisse à côté de toi sur la banquette, on n’arrive jamais à finir nos verres, mais c’est pas grave, on s’en fiche. Je me colle à toi, je tète ta langue et je plaque ma main sur ta queue à travers le jean. Alors là, tu sais qu’il faut faire vite, trouver un endroit, que tu vas pas tenir longtemps avec un bâton pareil. Tu penses à mes pipes, celles que je t’ai taillées, celle que je vais te faire. Et tu deviens fou, empressé, terrifié, toi qui toujours fais semblant de n’avoir peur de rien. Tu t’adosses à un mur, à une porte, un tronc d’arbre. Tu te dézippes à toute allure, ta queue jaillit comme un ressort. Et c’est l’hymne à la joie. Je gobe d’abord tes couilles, l’une après l’autre, tendrement, voluptueusement. Je lèche la peau hérissée de frissons. Puis le noyau, dur au-dedans, gorgé, acidulé, disparaît entre mes lèvres. Il reste là, bien au chaud entre ma langue et mon palais, jusqu’à ce que doucement, lentement, je le recrache, avant de prendre l’autre dans le nid mouillé de ma bouche. Tu lâches tes épaules, écartes les genoux. Tu te cambres, tes doigts empoignent mes cheveux pour me diriger, m’obliger, tu veux l’asile profond de ma gorge, tu veux la peupler, la survolter, la suffoquer. Tu me veux à tes pieds, acharnée à te séduire, dévouée au seul ...
... culte de ta queue magnifique. Parfois, tu jettes ton ventre en avant avec de longs râles, d’autres fois, des mots terriblement obscènes franchissent ta bouche. Tu te mets à haleter, tuméfié de désir. Et d’un seul coup, tu pars en salves. Enivré jusqu’au vertige, avec la sensation de tomber, de basculer dans un monde de sensations inouïes, tu jouis, inexorablement.Aujourd’hui, tu m’as demandé de t’attendre au bas de mon immeuble, vêtue en tout et pour tout d’une petite robe décolletée et courte. Un vent tiède plaque le tissu fluide de la robe sur mes cuisses, s’engouffre au confluent de ma source chaude qui s’humidifie dès que je pense à toi. Soudain, ta voiture s’arrête… je monte rapidement pour ne pas bloquer la circulation. Je ne sais même pas ce que tu as décidé de faire, je m’en fiche, la seule chose qui compte, c’est tout ce qui est entré en moi à ta suite, sur tes pas… tu sais que tu peux me demander tout ce que tu veux, et j’adore cette idée de m’en remettre entièrement à toi. Tu libères du volant une main imprudente pour la glisser sur le haut de mon dos, saisir mon épaule pour me rapprocher de toi, mais j’esquive, retenue par je ne sais quelle pudeur… ce sont tes yeux peut-être, tes yeux lorsqu’ils se posent sur moi, je ne sais pas ce qui se passe, mais chaque fois, je prends la fièvre, mon climat change, c’est un vrai chambardement qu’ils me font, ces yeux-là, je t’assure, des yeux qui, maintenant, volent sur mes cuisses, sur mon décolleté ouvert qui dessine mes petits ...