1. FELL 01


    Datte: 25/07/2018, Catégories: Masturbation

    ... fermeture Éclair ta bite dilatée aux dimensions de l’univers, me vient une faim comme je n’ai jamais eue… Alors de mes mains farouchement déterminées, je fais fuir ton pantalon à tes pieds, puis je me penche, je verrouille de mes doigts exclusifs le bel aviron qui t’est venu, je pose une langue gourmette sur le bout, l’enivre de circonvolutions lascives, de lapements avides, l’impatience te creuse les reins, plante au fond de ma gorge ton bâton tressautant, tes doigts se posent sur ma tête, se crispent dans mes cheveux, tentent de manœuvrer, de diriger, mais je les repousse, non, NON !Il n’y a pas si longtemps, tu m’as voulue offerte, tu t’en rappelles ? les yeux bandés, les mains liées ? eh bien, c’est ton tour maintenant ! Mes lèvres toujours arrondies autour de toi, je saisis tes poignets pour les caler derrière ton dos, puis je reviens à ton détonateur magique, le happe d’une bouche goulue, le pompe de mes joues, l’engonce de ma gorge, de mon palais, le voilà pris dans un piège de velours, un tourbillon épouvantable de volupté pure… autour de nous, l’univers n’existe plus, le temps est aboli, plus de nuit, plus de jour, seulement un brasier vaste comme le ciel, un brasier dans lequel ta queue démente est un tison rougi, et ce tison luit de ma salive au fur et à mesure qu’étourdie par mon propre roulis, dépossédée de toute retenue, je le lisse et le suce… et te voilà happé par une sorte de baiser humide et chaud, une succion lente qui t’emprisonne d’abord la base de la ...
    ... bite, puis remonte tout doucement jusqu’au col, le franchit, encapuchonne le gland de sa caresse visqueuse, repart en sens inverse dans un glissement fabuleux, vorace et amoureux, une petite halte à la racine où tes fruits juteux s’exaspèrent d’échapper au massage, et ma bouche dégoulinante repart dans l’autre sens, remonte, s’enivre à ton goût, oint ta bite aux abois d’une liqueur gluante et chaude… Sur mon dos, je sens la caresse de tes paumes rebelles qui n’en pouvaient plus de rester dans leur cachette, mon corps ondoie sous l’attouchement, ma bouche fermée émet une mélopée approbatrice… je me tortille et me contorsionne pour m’agenouiller sur mon siège, offrant au ciel stupéfait deux planètes siamoises au seuil desquelles tes doigts ne tardent pas à venir battre… Et tandis qu’entre tes jambes, s’organise un farouche soulèvement, tandis que tu me distends, que tu me bondes, que tu me suffoques, que tu voyages sans fin vers le fond de ma gorge, que tu cognes à ma luette avec une force extasiée, tes doigts éperdus de jalousie s’enfouissent tout à la fois au cœur de mon mystère et de ma fente, engloutis peu à peu par un sillon profond et trempé, clapotant dans un berceau bouillant qui les étreint, les suce, les mâche, les broie, et d’un seul coup, au moment où je n’en peux plus de couler sur ta main, tu m’abreuves enfin de ton lait épais, impétueux, intarissable… oui, oh oui, laisse-toi jouir, laisse-toi jouir longtemps longtemps longtemps dans ma bouche ! elle est née pour ça… 
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