FELL 01
Datte: 25/07/2018,
Catégories:
Masturbation
... seins qui gonflent… je te le jure, ils gonflent ! De ta main, toujours la même, tu épouses l’arrondi de mon genou gauche, tu le charmes de petites pressions, de massages doux qui me font onduler sous la caresse. Et puis soudain, d’une subtile reptation, tu quittes ton embuscade pour venir t’immiscer sous la robe, que je me mets à tirer en repoussant ta main parce que tu conduis. Je t’interdis de conduire alors que tu es en train de me rendre folle ! « Caresse-toi… me dis-tu, donne-toi du plaisir… je veux entendre ton souffle court et tes petits cris de jouissance. »Me caresser ? Jamais fait devant quelqu’un, jamais. Je te regarde, c’est toi que je crève d’envie de caresser, de toucher, de respirer, je meurs de ne pas m’ensevelir dans les vagues souples de ton long corps… et pourtant, ma main comme absente se pose sur mon sein, tandis que l’autre s’enfonce entre mes jambes, dans l’écrin de ma chair délicatement feuilletée, que le plaisir écarte d’un flot sucré… je ne te lâche pas des yeux, c’est trop bon, c’est trop bon de t’avoir là en live et de me caresser, de t’avoir au bout de mon regard, prisonnier de ton volant que tu ne peux lâcher… ah ! que n’as-tu d’autres mains pour me ceindre et me prendre ! Pas facile, hein, pas facile de conduire avec à tes côtés une femme tranquillement écartelée ! pas facile d’entendre ce flot de paroles, tous ces mots qui me viennent quand je te vois, ces mots crus, ces mots sexe qui te rendent marteau… pas facile de ne pouvoir jeter que ...
... de furtifs coups d’œil sur mes doigts qui progressent, silencieux, impitoyables, qui séparent les grandes lèvres, évasent complaisamment la chair de mon oursin tendre, que tu n’arrives pas à voir complètement, et je ne parle pas de mon petit bouton juteux et arrogant, dardé au cœur des pétales ! Oh si tu savais ce que c’est bon de te regarder ! si tu voyais mon corps ruisselant de convoitise entre mes cuisses brûlantes, on dirait une algue tordue par un remous sans fin… Oh je t’en supplie, je meurs de soif, laisse-moi m’abreuver à l’eau fraîche de ta racine !Tu arrêtes la voiture sur le bord d’un chemin un peu boisé… quand avons-nous quitté la route ? je ne me suis aperçue de rien…Avec une gourmandise dépourvue de la plus élémentaire pudeur, mon regard se porte sur le volume émouvant de ta braguette surpeuplée, puis il remonte vers toi, vers tes yeux pleins de lumière… tu souris, nonchalant, le bras abandonné sur le côté… Ô mon faiseur d’extase, comment arrives-tu à te faire désirer si fort, dis-moi ? j’ai envie, une envie terrible de t’enlacer, de te ceinturer, de gémir contre toi ! j’ai envie envie envie de m’empaler sur toi, d’ouvrir tout grand l’accueil suave de ma chatte gourmande ! et c’est une femme hypnotisée, hallucinée qui, sans te quitter des yeux, se met à pérégriner sur la voluptueuse et vivante géographie de ton ventre… ta nuque ploie en arrière sous l’instigation de mes doigts qui s’émerveillent de la douceur de ton pelage, mais quand je vois en baissant ta ...