1. La salope (4)


    Datte: 26/07/2018, Catégories: Erotique,

    ... un doigt s’assurait tout de même que je pouvais respirer. J’étais donc confortablement installée, le dos sur le tablier fait d’une matière chaude. Un long moment il ne se passa rien. Puis des mains, des doigts se collèrent à mes orteils. Lentement, ils débutaient un massage agréable. D’autres venaient aussi entreprendre une démarche identique, mais sur mon visage. Mes yeux fermés pas le chiffon qui m’empêchait de voir qui faisait quoi, rajoutait encore au trouble qui m’envahissait. Une sorte de torpeur bienveillante, un bien-être sans pareil qui glissait en moi, au rythme des caresses appuyées des doigts qui me palpaient. Cet état durait déjà depuis une éternité et je sentais une envie particulière qui me crispait les reins. Lentement les mains, toutes ensembles s’étaient rapprochées de concert et elles se trouvaient près de cette fente que sans doute les deux hommes présents prendraient. Je m’imaginais cela comme une fatalité et j’adhérais déjà à ce projet insensé de faire l’amour avec deux types. Rien ne me gênait dans cette hallucinante fête. J’essayais un long moment de deviner à qui appartenait ce doigt qui le premier tirait sur ma toison. Oh, ce n’était ni violent ni douloureux, juste excitant. Et à force de ne pas savoir qui faisait quoi, je sentais que ma chatte s’humidifiait de plus en plus. Un de ces facétieux lutins avait entrepris du reste d’en écarter les lèvres. Un autre longeait l’ourlet ainsi ouvert. À aucun instant il ne cherchait à entrer en moi. Non ! ...
    ... Juste des attouchements qui commençaient à m’agacer vraiment dans le bon sens du terme. Puis d’une singulière manière, tous disparaissaient, semblant se désintéresser de ma petite personne. Les bruits que je percevais auraient-ils pu m’alerter ? Pas si sûr ! Une sorte de sifflement aigu se faisait alors entendre. Je me demandais à quoi pouvait correspondre ce son peu orthodoxe. Quelque chose de froid venait de se poser sur mon ventre. Le ronron d’une sorte de moteur persistait. Une main me caressait le visage, et le type devait être penché, tout proche de moi. Je pouvais sentir son souffle saccadé qui me courait dans le cou. — N’ayez crainte, nous allons simplement vous raser. Votre toison est pourtant très belle, bien fournie, mais nous aimons aussi les sexes glabres. Cette phrase n’appelait aucune réponse de ma part. Du reste dans ma position, je ne pouvais que subir. Le rasoir électrique passait sans arrêt sur cette barbe nouvelle qui sans doute se trouverait éliminée et une fois de plus, je cherchais à imaginer mon pubis nu. Cette nouvelle poussée de clichés érotiques me faisait frissonner. Quand le bruit du moteur cessa, je savais qu’ils avaient rendu cet endroit tout lisse. Mais une autre matière humide et fraiche venait d’être appliquée sur ma peau. — Encore un peu de courage et nous en aurons fini... mais rassurez-vous, ça repoussera. Et nous sommes contents de ce que nous voyons. Vous êtes très... chienne. Vous méritez tous les honneurs. — ... ? Là encore, je n’avais pas ...
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