1. Sieste


    Datte: 26/07/2018, Catégories: ff, ffh, couplus, fépilée, vacances, douche, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, fsodo, lavement, uro, fouetfesse,

    Elle s’étire, là, nue, au soleil de cette fin d’après-midi. Son mari à ses côtés, sur la natte, nu lui aussi. Dolores, leur amie, s’est étendue, un peu plus haut, perpendiculairement ; un reste de pudeur hispanique lui a fait garder un mini-slip, presque transparent, où se devine le large triangle de sa toison brune. Quant à son époux, à peine adossé contre un arbre, il s’est assoupi. Elle se sent bien, dans une sorte de somnolence, ce flottement léger à mi-chemin de l’éveil et du sommeil, propice au vagabondage de la rêverie. La vision, devenue un peu floue, de son amie au buste garçonnier, mais aux larges hanches féminines (sorte de Jane Birkin espagnole) ramène à son esprit un flot d’images récentes. La veille, descendant faire leurs courses à la « ville » - comme on disait dans le « bled » -, ils étaient passés les voir, Dolores et Bertrand, et c’est ensemble, qu’après un tour en médina, ils avaient fait leur marché. De retour à la villa, moites de sueur, les deux femmes, à peine entrées, s’étaient dénudées et précipitées, toutes les deux, sous la douche, sous le regard plus qu’intéressé des deux hommes. Bertrand s’était contenté de les suivre des yeux, avant d’aller chercher des rafraîchissements. Hugues, lui, assumant son voyeurisme, s’était posté à la porte, restée ouverte, de la salle d’eau, pour contempler le spectacle de leurs nudités si contrastées. Il détaille Dolores : l’étonnante opposition entre le buste d’adolescente - les seins comme naissants, à peine ...
    ... marqués, avec cependant des pointes foncées d’une étrange longueur - et l’épanouissement des hanches, la magnifique plénitude des fesses, le triangle fourni de la sombre toison (qui, à son tour, contraste avec le sexe parfaitement épilé de son épouse). Les deux compagnes, feignant d’ignorer le voyeur, sont au plus près pour profiter de la fraîcheur du jet, se frôlant de face ou de dos, s’offrant bras dressés, seins et ventres, à la caresse de l’eau, ou bien dos à dos, fesses à fesses. Bertrand, revenant avec des boissons, entraîne Hugues, qui le suit presque à regret, vers le séjour (non sans avoir légèrement repoussé la porte de la salle d’eau). Seules, désormais, débarrassées maintenant de la sueur et de la poussière de l’après-midi, elles ne se contentent plus de se frôler. Comme par jeu elles frottent leurs pointes de seins érigées par l’eau froide et, cuisses entremêlées, leurs sexes si dissemblables, celui de Dolores pudiquement masqué par son épais pelage de jais, celui de Marie-Hélène impudiquement offert au regard ; en une sorte de danse, ce sont aussi leurs fesses qui se heurtent rythmiquement. Tout en riant aux éclats. (Peut-être pour cacher le trouble naissant que provoquent ces jeux). Puis Marie-Hélène entreprend de savonner son amie. Douces caresses sur le cou, les épaules, avant de s’attarder sur les seins miniatures, les enveloppant, ce qui est facile, dessinant du doigt les aréoles, se saisissant des longues pointes pour les faire rouler entre pouce et index. ...
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