Sieste
Datte: 26/07/2018,
Catégories:
ff,
ffh,
couplus,
fépilée,
vacances,
douche,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
lavement,
uro,
fouetfesse,
... rougir jusqu’à la racine des cheveux. La grossièreté de l’interrogation comme la verdeur supposée de la phrase inaudible, si elles surprennent Marie-Hélène, ne la choquent pas. Elle-même raffole, quand monte le plaisir, de ces mots ou interjections dont elle abhorrerait la vulgarité en temps normal. Mais, seul de ses amants, Hugues sait lui prodiguer opportunément des « Ma petite putain adorée », « Ma douce enculée », « Ma tendre salope » et autres gracieusetés qui augmentent son excitation. Comme ils en ont pris l’habitude, ils doivent se retrouver le lendemain là-haut, dans la petite ville d’altitude. Depuis le début des chaleurs, chaque week-end si c’est possible, le dimanche en tout cas, Bertrand et Dolores les rejoignent pour profiter de la relative fraîcheur montagnarde. Mais ce soir - chaque couple ayant une invitation à une de ces nombreuses soirées qui ponctuent les nuits printanières - ils se quittent. C’est ainsi, le déjeuner ayant été pris fort tard, qu’ils se retrouvent, en cette fin de dimanche après-midi, dans ce coin tranquille du jardin. Cette évocation n’a pas manqué de produire son effet sur Marie-Hélène qui se sent trempée d’excitation. Sa main, comme par mégarde, se pose sur le ventre de son mari, descend vers le sexe qui répond instantanément à la caresse. Dolores semble assoupie (bien que Marie-Hélène la soupçonne de filtrer un regard hypocrite sous les paupières en apparence closes). Ils se mettent sur le côté, face à face. Hugues n’a aucune peine à ...
... s’introduire dans la fente juteuse et il s’ente au plus profond, tandis qu’elle fait jouer autour du membre planté les seuls muscles du vagin. Soudain il lui murmure : « Regarde Dolores ». Elle doit se tordre le cou pour découvrir la tache humide qui auréole le slip de leur amie, démontrant qu’elle mouille d’abondance. Se libérant doucement de l’étreinte, Marie-Hélène se retourne pour faire face à la sournoise, Hugues se plaque contre ses fesses et, lui soulevant une jambe, la pénètre à nouveau. Elle l’encourage, par ses soubresauts, à un va-et-vient actif. Au spectacle de cette queue qui sort et replonge entre les lèvres nues du sexe, Dolores abandonne sa feinte somnolence. Elle fait vite glisser la culotte trempée et, talons remontés, cuisses grandes ouvertes, leur offre en retour le spectacle d’une violente masturbation. Leurs jouissances sont presque simultanées. Les vagues de ce premier plaisir à peine retombées, Marie-Hélène fait signe à leur amie de venir les rejoindre. Elle lui intime, d’un geste impérieux, d’avoir à nettoyer leurs sexes de la bouche. Dolores s’y emploie docilement, sur sa compagne d’abord dont elle lèche les sucs mélangés de sperme, avant de s’attaquer, à grands coups de langue, à la bite amollie où les jus déjà se dessèchent. Cette toilette ne tarde pas à provoquer un début de résurrection qu’elle accentue en avalant presque la queue grossissante. Marie-Hélène, fascinée par la croupe tendue, écarte les deux hémisphères charnus et s’active de la langue ...