1. Sieste


    Datte: 26/07/2018, Catégories: ff, ffh, couplus, fépilée, vacances, douche, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, fsodo, lavement, uro, fouetfesse,

    ... Descendant sur le ventre, elle glisse un doigt dans le nombril, avant de savonner abondamment la brune toison, comme pour un shampooing qui la couvre de mousse ; incidemment l’index se glisse entre les grosses lèvres, effleure le clitoris, provoquant un frisson. Elle s’attarde encore à la fourche des cuisses - là où la peau est si douce - et descend jusqu’aux pieds. La retournant, elle frotte le dos avec énergie. Mais ses mains savonneuses deviennent plus tendres quand elles arrivent aux fesses opulentes qu’elles parcourent, dont elles écartent les globes pour glisser dans la raie profonde, un index s’attardant sur l’œillet sombre qui s’y niche. Dolores, pour ne pas être en reste, entreprend la même tâche. Les seins attirent évidemment ses soins attentifs. Elle les soupèse, les parcourt, ne se lassant pas d’en caresser la rotondité. En revanche, comme intimidée par le dévoilement des lèvres, elle ne fait qu’effleurer la vulve, juste pour sentir la douceur de la peau épilée. De même, elle ose à peine parcourir, d’un geste furtif, la raie culière de sa complice. Leurs deux corps savonneux se frottent alors de nouveau, dans une glissante caresse. Dos à dos, fesses contre fesses, d’abord, seins contre seins, ventre à ventre, sexe à sexe après, dans une sorte de slow. Marie-Hélène, s’étant légèrement décalée, frottant son sexe nu sur la cuisse de son amie, fait glisser sa main gauche sur le dos, entre les fesses, pour atteindre l’étroit trou secret, sa main droite, se frayant un ...
    ... chemin à travers l’épaisse toison, écarte les lèvres cachées. À peine a-t-elle forcé, du majeur, l’anneau froncé, qu’elle est surprise par la violence des spasmes de sa compagne (dont les secousses se répercutent délicieusement sur son sexe). Et la caresse qu’elle prodigue activement au clitoris maintient sans difficulté cette jouissance si subite. Jouissance contagieuse, puisqu’il lui faut peu de temps pour la rejoindre dans une commune extase qu’elles prolongent, la faisant rebondir de crête en crête. Le plaisir retombé, un baiser profond conclut cette délicieuse communion. Elles se rincent et, juste drapées d’une serviette de bain, rejoignent les hommes. À leurs regards allumés - les pastis qu’ils sirotent ne pouvant expliquer une telle excitation - elles supposent qu’ils n’ont rien perdu des échos bruyants de leurs ébats. Mais Marie-Hélène ne tarde pas à découvrir qu’ils n’ont pas perdu non plus une miette du spectacle. Le grand miroir, sur la porte de la salle d’eau, leur a permis de le suivre en direct. Cette révélation de leur duplicité, loin de l’indigner, accroît presque - a posteriori - la joie ressentie. « Sales voyeurs », glisse-t-elle tendrement à son mari, dont la main l’explore discrètement sous le drap de bain. Bertrand, lui, se penche vers Dolores pour lui demander en confidence - mais de telle façon que ses amis puissent l’entendre - « Alors, petite salope, tu as bien joui ? », avant d’ajouter une phrase en espagnol, qu’ils ne peuvent saisir, mais qui la fait ...