Sans honte et sans gêne (1)
Datte: 27/07/2018,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Je te vois, assise-là à me regarder avec ce regard qui me donne toujours la chair de poule. À cette instant et comme la plupart du temps, je cherche « La chose » à te dire. Celle avec laquelle je réussirais à tremper ton string sans être obligé d’y toucher. C’est rarement une réussite mais cette fois c’est la bonne, je le sens. Une voix suave et assurée suffirait pour te faire perdre la tête, je veux que tu vois au travers mon regard toutes les choses interdites et défendues que j’ai envie de te faire subir. Je prends donc une posture remplie d’assurance, je rehausse les épaules, je me racle la gorge, m’éclaircis la voix et je dis : — Reprendriez-vous du vin? Coupé en plein élan par le serveur, décidément il n’aura pas bien choisi le moment pour faire son entrée lui! Tu répliques. — Volontiers Après avoir terminé de remplir nos verres, le serveur s’éloigne enfin. Je retourne chercher l’assurance de tout à l’heure qui s’était cachée derrière mon ego et dis : — Tu sais, tu es franchement magnifique ce soir, tes cheveux et tes yeux, sans parler de cette robe noire qui te vas à ravir. — Merci. Tu souris l’air gêné ou flatté. — Je t’en prie, tout le plaisir est.. pour moi. Non décidément ça ne va pas! Je veux te faire mouiller, je veux te voir te déchaîner. Je veux, je veux, je te veux! Je ne dois pas rester sur la défensive comme ça, je dois passer à l’attaque. — En fait chérie, je dois te dire un truc. — Oui? — Le souper est délicieux, le restaurant est sympathique et ...
... j’apprécie énormément ce moment avec toi mais.. — Mais? — Mais si je ne sors pas d’ici immédiatement… Je m’incline vers le devant de la table, ma voix devient plus grave et je chuchote à voix basse. — Je te prends, t’arrache tes vêtements, te couche sur la table, t’écarte les jambes et te fourre devant tous ces gens qui nous regarderons et verrons de quelle manière j’aime te baiser, comme une chienne qui en redemande toujours un peu plus. Je l’avoue, j’appréhende un peu ta réaction mais je ne trahis pas mon air sérieux. Tu ne réponds pas mais je vois clairement une lueur s’illuminer dans tes yeux, je la connais bien cette dernière. Tu serres les jambes et tu bouges sur ta chaise comme si tout d’un coup tu étais assise sur un vieux banc en bois inconfortable. Tu rougis et j’ai l’impression que tu as une bouffée de chaleur. — Je.. euh.. mais.. D’un geste élégant je te fais signe de te taire. Au même moment, j’intercepte le serveur qui passe par là. — L’addition je vous prie. — Oui monsieur, je vous apporte cela immédiatement! Toujours dans le silence, je paye et nous nous dirigeons vers la sortie. Je t’aide à enfiler une veste tout aussi élégante que ta robe. Dehors, il fait froid, c’est le mois de décembre et nous avons environ vingt minutes de marche avant d’arriver à l’arrêt de tramway. Ma main est sur ta hanche et nous marchons côte à côte. L’ambiance est glaciale et chaude à la fois, c’est un véritable ballet des éléments qui réunit le froid de nos caractères et le feu de nos ...