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Sans honte et sans gêne (1)
Datte: 27/07/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme
... envies. Je n’en peux plus, je cède. Ma main qui était posée sur ta hanche depuis un moment, descend dangereusement au niveau de tes fesses, je veux te faire réagir, te provoquer. Mais même si ma main est sur ta fesse et qu’elle te tâte, tu ne réagis pas et tu continues de marcher au même rythme que moi. Ça me frustre et je sens monter en moi une colère mêlée à du désire. Ma main s’enfonce plus profondément et vient se loger au-dessous de tes fesses, entre tes jambes dénudées puisque que tu portes une robe courte. Tu arrêtes tout d’un coup de marcher, ce que j’imite immédiatement sans retirer ma main. — Tu ne portes rien? — … Je suis trop excité pour être étonné. Sans hésitation je laisse mon majeur s’aventurer entre tes lèvres que je trouve étrangement mouillées. J’ai donc la confirmation que ma prestation au restaurant aura servis à quelque chose. Tu gémis et me regardes dans les yeux, je suis toujours positionné à tes côtés. Pour l’instant je ne fais que faire des va et vient entre tes lèvres mais je décide pendant un « vient » de faire un « va » en profondeur. Je t’enfonce mon majeur en longueur. Tu tremblottes et je te sens perdre pied. Je sens tes cuisses s’écartées, ce qui me permet d’avoir plus de place et d’enfoncer un deuxième doigt. La bouche entre-ouverte, tu pousses un gémissement saccadé qui me rendrait presque dur. J’entends un bruit au loin, je tourne la tête et aperçois deux hommes se diriger vers nous sur le même trottoir. Le moment est trop bien choisi ...
... pour que j’hésite. Je te chuchote dans l’oreille de continuer d’avancer. Je glisse mes doigts vers l’extérieur et viens les positionner entre tes lèvres tout en continuant de se diriger vers les hommes. Je te sens tellement chaude, et même si je sais que tu as envie d’exciter ces deux hommes, tu n’en as pas le courage. Avant de croiser les hommes, je te tire vers moi et te colle contre mon torse et t’embrasse. Toujours la main sur ta chatte, je lève ta robe vers le haut dévoilant tes fesses et laisse mon majeur trempé de mouille glisser entre tes fesses. Tu m’embrasses mais tu as les yeux grands ouverts et me fixes. Tu réalises que les hommes sont juste à côté de nous et de leur point de vue, il ne voit que ton cul bien rond et ma main en train de les caresser. C’est la première fois que nous faisons une exhibition. Nos victimes d’une vingtaines d’années ralentissent à notre niveau et continuent d’avancer en laissant couler un regard derrière eux de temps en temps jusqu’à ce qu’on ne les voit plus. Je te dis à l’oreille : — J’aime ton joli petit cul et ça serait égoïste de ne pas le partager. Ta réponse me surprend car sans rien dire, tu viens loger ta main sur mon jean au niveau de mon entre-jambes, qui forme déjà une jolie bosse. Tu adoptes la forme de mon membre dans ta main et frottes de haut en bas, ce qui a pour effet de provoquer une légère chaleur et de me rendre encore plus dure que je ne l’étais. duidssl Nous sommes là, tous les deux en plein milieu de la rue sur le ...