Sans honte et sans gêne (1)
Datte: 27/07/2018,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... trottoir adossés à un mur de boutique sans importance, moi la main qui retourne se loger entre tes jambes et toi la main sur ma queue. Nous nous caressons ainsi pendant quelques secondes qui semblent durer plusieurs minutes. Puis résistant malgré moi au désir de ne pas aller plus loin. Tu me dis avec une voix mielleuse : — Je veux que tu me baises comme une salope. Pour la deuxième fois de la soirée je craque, mais cette fois avec beaucoup plus de conviction. Je te retourne assez violemment et te colle contre le mur, relève ta robe jusqu’à ton bassin et dévoile à nouveau ton cul. Je défais d’une main ma ceinture pendant que l’autre est entre tes omoplates pour te maintenir fermement contre la surface froide de la brique. Ma ceinture défait, je sors ma queue tendue que je positionne au même niveau que ton bassin que j’ai déjà tiré vers moi. Je glisse ma queue entre tes lèvres sans pénétrer et à ce moment-là j’ai envie de te traiter comme une salope, puisque tu me le demande. Je te dis : — Tu as envie que je te baise ici et maintenant alors qu’on peut se faire voir par n’importe qui? — Oui! — Dis-moi que tu aimes te faire traiter comme une chienne, une vulgaire petite allumeuse, Dis-le moi! — Oui j’aime ça! Je frotte mon gland entre tes lèvres chaudes et mouillées, c’est un véritable délice. — Je veux t’entendre me supplier de te baiser. — Baise-moi.. Baise-moi fort! Avant même que tu finisses ta phrase, je te pénètre d’un seul trait. Je sens tes lèvres s’écarter sous le ...
... passage de mon membre, mes cuisses taper contre tes fesses rougies par le froid de décembre. Je t’entends gémir mais je veux plus, je veux te faire crier, alors je prends appui contre le mur et de l’autre main je viens prendre tes cheveux comme une tresse, comme si je montais un cheval en l’occurrence, toi. Tu relèves la tête et tu as le cou bien droit, tu te maintiens au mur à deux mains pour rester en équilibre et encaisser mes coups de bassin, qui se font de plus en plus fort. Ça claque de plus en plus et tu as du mal à rester muette. Tu commences à laisser échapper de petits cris, Putain c’est bon, je te veux encore plus fort! Je te défonce littéralement la chatte, et je n’hésite pas à te donner un bon coup sur les fesses quand je sens que tu ne cries pas assez. Tout d’un coup, le bruit d’une voiture se fait entendre. Sur le moment je n’y porte pas trop attention, trop occupé à baiser cette salope avec un ce si bon petit cul. Mais je me dis que ça serait sympa de faire partager ce moment à l’occupant de cette voiture. J’entoure mon bras autour de ton cou pour venir chercher ton épaule, te relève comme une poupée de chiffon, le sexe toujours planté en toi et sans m’arrêter de te limer la chatte; je nous retourne et descends ta robe jusqu’à ton bassin, tes seins nus et pointés se dressent devant les phares de la voiture qui nous aveugle. La voiture passe et ralentis à notre niveau de l’autre côté de la rue. Elle se stationne et arrête le moteur. Par la fenêtre nous apercevons un ...