Vacances en camping car (10)
Datte: 26/07/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
Après les péripéties de la veille avec André et Fred, je voyais maintenant Marion d’un autre œil. Elle qui était si novice au début de ces vacances, je ne réalisais pas encore que je l’avais vu de mes propres yeux chauffer, sucer et avaler la semence de deux parfaits inconnus. Et le pire, c’est qu’elle avait été déçue de ne pas pouvoir aller plus loin avec eux, preuve qu’elle était de moins en moins farouche en matière de sexe, et ça promettait pour les garçons avec lesquels elle sortirait dans les années à venir. En tout cas, les parents ne s’étaient pas inquiétés de notre absence prolongée puisque, après la rencontre avec André et Fred, nous étions allés prendre une douche, si bien que nous nous étions absentés près de quarante-cinq minutes du camping-car, prétextant un problème aux sanitaires qui avait mis un peu de temps avant d’être résolu. Ensuite, la soirée se passa comme si de rien n’était : d’abord l’apéritif, puis le repas, et enfin un jeu de cartes ponctué de rires et de bonne humeur avant d’aller se coucher, car nous allions reprendre la route tôt le lendemain, comme d’habitude. Lorsque je grimpai dans la capucine, Marion s’y trouvait déjà, allongée dans son duvet, et elle m’accueillit d’un sourire. — Salut, beau gosse, me chuchota-t-elle. — Salut, gourmande... Elle me répondit par un petit rire puis, après avoir souhaité une bonne nuit à nos parents qui vont aussitôt s’enfermer dans leur chambre, je ferme le rideau de la capucine pour que nous puissions nous ...
... aussi avoir un peu d’intimité. — Alors, remise de tes émotions ? — Oui, me répond Marion, et ça m’a beaucoup plu ! — À moi aussi, je réponds, même si j’étais un peu... — Jaloux ? — Exactement... Tout en lui parlant, je dézippe un côté de son duvet, dévoilant petit à petit son corps caché par de jolis sous-vêtements rouges. — Qu’est-ce que tu fais ? Demande-t-elle. — Je me venge... — Pas maintenant, les parents sont en bas, et... — Tant pis, je prends le risque ! Une fois le duvet complètement dézippé, je l’ouvre entièrement et, pendant quelques secondes, mon regard ne peut se détacher du corps de Marion qui, une fois de plus, réveille en moi des envies de cochonneries. — C’est pas une bonne idée, rajoute Marion. — Et alors ? Je pose aussitôt mes mains sur les seins de Marion que je pelote doucement, sans les sortir de leur soutien-gorge puis, rapidement, je m’empare de sa petite culotte que je baisse jusqu’aux genoux. — Quentin... Quand ma bouche se pose sur son sexe que je me mets aussitôt à aspirer et à lécher, Marion se cambre de plaisir, tout en m’agrippant les cheveux. Quant à moi, je lui dévore intégralement l’entrejambe, léchant ses fines lèvres, les écartant avec les doigts pour pouvoir plonger davantage à l’intérieur, et mordillant aussi légèrement son clitoris gonflé par le plaisir. Bref, je me régale et, quand j’entends Marion commencer à gémir doucement, ma main se pose sur sa bouche pour l’empêcher de faire du bruit, tout en continuant à lui bouffer l’abricot. Je ...