1. Vacances en camping car (10)


    Datte: 26/07/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... tripoter à nouveau la bite, mais mon nom résonne dans la forêt encore plus fort que précédemment. Du coup, je reprends ma course, et j’arrive après quelques secondes dans une autre clairière. Cette fois-ci, le spectacle qui s’offre à moi est complètement différent, puisque ce sont les deux hommes cagoulés qui sont en train de baiser ensemble, pendant que Marion est allongée à quelques mètres d’eux et se doigte le sexe avec frénésie. — Quentin, gémit l’un des hommes, alors que son acolyte est en train de le sodomiser. Je me réveille aussitôt en sursaut et en sueur, et je me rends compte que nous sommes déjà en train de rouler. Un rapide coup d’œil sur mon téléphone me permet de constater qu’il est six heures et demie du matin, ce qui veut dire que notre père a été, une fois de plus, bien matinal. En tout cas, je n’ai pas vu la nuit passer, comme si le rêve érotique que je venais de faire avait duré toute la nuit, et j’ai une gaule d’enfer. Seulement, plutôt que de me soulager tout seul, je me dis que ça serait bien mieux de mêler l’utile à l’agréable. En me redressant un peu, je constate que Marion est couchée sur le ventre, par-dessus son duvet, endormie, et la voir ainsi en sous-vêtements de bon matin n’arrange rien à mon érection ? Je me repais donc de ce beau spectacle pendant quelques secondes puis, tout d’un coup, j’ai envie d’être coquin. Quelques jours auparavant, Marion m’avait réveillé de bon matin avec une agréable gâterie, donc c’était à mon tour de lui rendre la ...
    ... pareille. Après un rapide coup d’œil sous le rideau de la capucine pour m’assurer que les parents sont tous les deux installés devant et que nous sommes donc tranquilles là-haut, je me redresse davantage, puis pose tout doucement mes mains sur les fesses rebondies de Marion qui ne bronche pas. J’attends quelques secondes dans le silence le plus complet puis, je me mets à lui tripoter les fesses, tout en douceur. Marion émet aussitôt un léger grognement, gigote un peu sur son duvet puis, elle s’immobilise à nouveau. J’attends à nouveau quelques secondes puis, mes mains passent sous le tissu de sa culotte, caressant ainsi avec précaution ses fesses nues et, je la baisse doucement, suffisamment pour pouvoir apercevoir son petit trou. Je continue ensuite de lui masser les fesses puis, du bout du pouce, je lui caresse délicatement la rondelle. Je sens aussitôt Marion gigoter dans son sommeil. Fait-elle semblant de dormir afin de profiter pleinement de ce câlin matinal, ou dort-elle réellement ? Aucune idée mais, en tout cas, cela ne me stoppe pas dans mon élan. Après quelques secondes, je me penche vers ma sœur, et je me mets aussitôt à lui lécher le petit trou avec appétit, lui écartant les fesses afin de l’ouvrir davantage, et ma langue s’en donne à cœur joie en lui mangeant l’intérieur. Si on m’avait dit un jour que je prendrais autant de plaisir à manger un cul, jamais je n’y aurais crû, et pourtant, c’était bien vrai ! Je continue donc de me repaître de son intérieur pendant ...
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