Vacances en camping car (10)
Datte: 26/07/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
... se pose sur sa poitrine que je prends à pleine main, comme pour m’y agripper, alors que Marion, elle, se caresse la chatte. — Je crève de chaud, me dit-elle après quelques secondes. — Moi aussi, mais c’est pas grave... Je continue de la sodomiser en accélérant la cadence mais, tout d’un coup, sans que je m’y attende, Marion ouvre le volet de la capucine en grand, laissant ainsi entrer de l’air frais, et dégageant la vue sur tout le camping-car. — T’es folle, pourquoi tu fais ça ? Je lui demande à voix basse. — Pour qu’il fasse meilleur... — Et si les parents nous voient ? — Ils verront rien, t’en fais pas, papa conduit, et maman est beaucoup trop occupée par la route... — Mais tu... — Ferme-la, et continue de me baiser plutôt que de stresser ! Bien que légèrement déconcentré maintenant que le volet était ouvert et imaginant la tête de nos parents s’ils nous voyaient dans une pareille situation, j’ai du mal à me remettre dedans, et Marion semble s’en apercevoir aussitôt. — Bah alors, tu ralentis la cadence ? Me demande-t-elle. — Mais non, c’est juste que... — Que quoi ? On a passé toutes les vacances à baiser et à risquer de se faire surprendre, je te signale, donc pourquoi s’arrêter en si bon chemin ? — C’était quand même un peu différent, donc... — Pas vraiment, non ! Elle marque quelques secondes d’arrêt, puis : — Bon, tu me baises, oui ou merde ? Cette fois-ci, c’en est trop. Elle me cherche ? OK, alors elle va me trouver, cette petite salope ! — T’as eu raison d’ouvrir ...
... un peu le rideau, finis-je par lui dire. — Pourquoi ? — Parce que je vais te faire transpirer encore plus ! Avant qu’elle ne réponde quoi que ce soit, ma main se plaque sur sa bouche, et l’autre se glisse autour de sa taille. Je recommence aussitôt à l’enculer et, cette fois-ci, je n’y mets aucune douceur, seulement de la brutalité, et du rythme, beaucoup de rythme, même. Pour ainsi dire, je lui défonce le cul, et j’espère que le bruit de mes testicules tapant à toute vitesse sur ses fesses ne fait pas trop de bruit dans tout le camping-car car ce serait un coup à se faire griller très bêtement. Je continue donc de la baiser sauvagement pendant quelques minutes et, ayant beaucoup de mal à se retenir de gémir, je sens les dents de Marion se planter dans ma main et se serrer d’un coup. Je ressens aussitôt une vive douleur mais, plutôt que de me stopper dans mon élan, c’est tout l’inverse. Non seulement je continue de lui pilonner le petit trou mais en plus, ma main qui me permettait de lui enserrer la taille descend jusqu’à son entrejambe, et je glisse aussitôt trois doigts dans son sexe trempé. Je continue donc de lui faire son affaire des deux côtés pendant quelques minutes supplémentaires puis, sentant que Marion essaye de repousser ma main qui lui sert de bâillon, je ralentis le rythme d’un coup. — Ca va ? Je lui demande. Elle m’attrape aussitôt la main que je venais d’utiliser pour la branler, et me lèche les doigts de haut en bas. — Très bien, finit-elle par répondre, ...