Avec des amies comme ça… (17)
Datte: 28/07/2018,
Catégories:
Trash,
... sueur, qu’on la faisait courir pour la calmer de ses pulsions. — C’est clair. Une salope comme elle… Toujours à penser au cul je suis sûr… — En tout cas, elle m’a épuisé à me faire courir après elle, moi aussi, j’ai besoin de repos. » se lamenta Hélène. Elle regarda autour d’elle et comme personne ne venait, elle retira sa culotte et, pour se reposer, décida de s’asseoir… sur moi ! Elle avait son abricot planté sur mon visage. « Lèche salope ! » Comme si j’avais le choix… Je faisais entrer ma langue dans son con à son plus grand plaisir, j’avais mon nez et mon visage sous ses lourdes fesses. Mais, même dans cette position peu pratique, je retrouvais vite mes marques de brouteuse de chatte et lui léchais le berlingot comme une bonne petite habituée. Bien que le chemin derrière le pavillon soit reculé, elle devait faire preuve de plus de retenue que d’habitude pour que les passants de la rue ne soient pas attirés par ses cris de jouisseuse. C’est donc en goûtant le degré de moiteur de son con que je me rendais compte qu’elle prenait un immense plaisir à toute cette séance. J’en étais assez fière. Pouvoir être utile à mes amies était maintenant mon vœu le plus cher, et je ne ménageais pas mes efforts pour la régaler de mes talents de lécheuse. Je rentrais ma langue profondément en elle, mais n’hésitais pas non plus à lui lécher les bords de la chatte et ses longs poils. Mon amie finit par prendre son pied sous mes coups de langue et ôta ses fesses de mon visage. « Remets-moi ma ...
... culotte salope. » J’obéis avec empressement, remontant son sous-vêtement le long de ses longues jambes. Elle me caressa les cheveux en signe d’appréciation. « C’est bien ma chienne, il est temps de repartir ». C’est vrai, il commençait à être tard, et après notre détour le chemin pour rentrer était encore long. Victoria et Hélène se mirent à discuter. Victoria lui apprit que son frère partait de chez elle, ça lui faisait bizarre de se retrouver toute seule avec ses parents. Puis Hélène raconta qu’elle avait vu le CPE et qu’il était d’accord pour prêter une salle pour la répétition d’une pièce de théâtre. « Ce sera amusant, et puis on pourra mettre “metteur en scène” sur nos nos C.V, ça fera classe. — Il y a un sujet ? — C’est sur Cendrillon... Mais une version moderne, plutôt que de se faire martyriser par ses belles-sœurs, c’est pas des élèves de son lycée que Cendrillon se fait harceler. D’ailleurs, je pense que Cécile fera une très bonne Cendrillon. — Ce ne sera pas un peu chiant ? — Non ! Ce sera carrément burlesque. T’imagines, y aura un public devant lequel on pourra taper Céci... euh Cendrillon, sans que personne y trouve à redire. Quant à toi, Victoria, je pense que tu joueras une prof sadique à la place de la belle-mère. Tu pourras te défouler... — Et ça finit bien ? Comme le conte ? — Bah non ! C’est moderne, faut que ce soit plus dark ! À la fin, Cendrillon se suicide. Mais ce sera trop drôle ! elle se pendra, et se chiera dessus devant tout le monde ! Tu vois la ...