Travaux routiers - Couplets 4 et 5
Datte: 26/07/2017,
Catégories:
fh,
couleurs,
extracon,
inconnu,
nympho,
grossexe,
campagne,
Collègues / Travail
pénétratio,
pastiche,
humour,
occasion,
... seins.— Aah !— Sens comme ma queue se trouve bien dans ton ventre.— Aah !— Je vais jouir dans ton petit con.— Aah !— Je vais le remplir de ma semence.— Ouii !— Je veux que tu jouisses avec moi.— Ouii !… Aaah !… Je pars !… Ouiiiii ! ! ! Hubert accélère pour que son plaisir rattrape celui de Lisette. Il rugit presque en éjaculant. La jeune fille se tétanise, comme sous l’effet d’une décharge électrique. Son corps s’arc-boute, reste une fraction de seconde en l’air, puis retombe. — AAAAaaaahhh ! Hubert se dégage. Elle reste étendue, les yeux clos, immobile, impudique. Le chauffeur se lève, lave son sexe au ruisseau voisin et revient vers la belle endormie. Il secoue les gouttes de ses mains. — Hii ! Vous me faites froid.— Je crois qu’il est l’heure de vous rhabiller. La jeune fille prend conscience de sa tenue - ou plutôt de son manque de tenue. Elle referme les cuisses et croise les bras sur la poitrine. — Retournez-vous, s’il vous plaît. Hubert obéit en souriant à cet accès tardif de pudeur. OooOOOooO Dans la voiture, Marie-Amélie n’a même plus la force de gémir. Les orgasmes se succèdent, Louis ne lui laisse aucun répit. Il l’a obligée à grimper à quatre pattes sur la banquette et la prend en levrette. Il est fier de son succès. La belle ne pourra pas se plaindre. La fatigue commence à se faire sentir, il n’a plus le courage de résister à la montée de la jouissance. — Aaah !… Aaaagrh !… Aarrrgrrrhhh ! La jeune femme reçoit avec soulagement la semence qui annonce la fin ...
... de l’épreuve. Ouf ! C’est fini ! Elle est rompue. Jamais une étreinte ne l’avait fatiguée à ce point. Il faut dire que jamais elle n’avait éprouvé autant d’orgasmes. Combien ? Sept ? Huit ? Elle renonce à en faire le compte. Tout ce qu’elle sait, c’est qu’elle ne ressent qu’une lassitude bienfaisante. Tout son corps est repu, satisfait. Avec précautions, elle s’asseoit et est tout étonnée de ne pas éprouver de gêne au niveau du bas-ventre. Dans cette aventure, elle n’a eu que du plaisir. Elle ouvre les yeux et sourit à Louis qui remballe son attirail dans son caleçon. Un tel étalon, pas question de s’en séparer. Il ne faut pas le laisser s’enfuir. Elle réfléchit au moyen de se l’attacher. Sur ces entrefaites, Hubert s’avance, portant sur le bras le pantalon du cantonnier qui s’empresse de l’enfiler. Lisette le suit, toute timide, se demandant si Louis ne va pas la gronder pour avoir fait l’amour avec un nègre. Ce n’est pas la préoccupation du cantonnier, qui redoute l’arrivée de son chef d’équipe. Il vaudrait mieux que la préfète s’en aille, à présent. Il aura moins d’explications à donner. — Ainsi, c’est vous qui êtes chargé de l’entretien des routes du canton ? Je ne vous félicite pas, commence Marie-Amélie qui a une idée pour s’attacher les services de Louis.— Oh ! Pas de tout le canton. Je ne m’occupe que de la partie près du village qui est derrière le bois, et j’essaye de faire convenablement mon travail. Mademoiselle, qui est venue me surveiller, vous le dira.— Ah ! ...