1. Travaux routiers - Couplets 4 et 5


    Datte: 26/07/2017, Catégories: fh, couleurs, extracon, inconnu, nympho, grossexe, campagne, Collègues / Travail pénétratio, pastiche, humour, occasion,

    ... Mademoiselle vous surveillait ? L’épouse du Préfet éclate de rire. — Quelle drôle de surveillance ! La pauvre Lisette se cache derrière Hubert. Celui-ci intervient. — J’ai remarqué en traversant le village que la chaussée y était en moins mauvais état qu’ailleurs.— Je le concède, admet Marie-Amélie, nous étions moins secoués. Cela prouve l’efficacité de monsieur Louis et son savoir-faire. Je pense que de telles dispositions au travail doivent être encouragées et même récompensées. Qu’en dites-vous, Hubert ?— Je suis de l’avis de Madame. Louis ne les écoute pas. Il a entendu le bruit caractéristique du camion d’Antoine. — Présentez-vous demain matin à onze heures à la préfecture… vous m’écoutez ?— Euh… pardon… j’étais préoccupé. Le camion de mon chef arrive. Qu’est-ce que vous dites ?— Je vous demande de vous présenter à la préfecture demain à onze heures. Vous demanderez le… le secrétaire particulier du Préfet.— Pourquoi faire ?— Rien de grave, rassurez-vous. Votre avenir est assuré. Le camion d’Antoine stoppe derrière la belle torpédo. Sur le plateau les collègues de Louis se penchent pour voir la belle dame avec ses beaux bijoux qui l’accompagne. Le chauffeur descend, de mauvaise humeur. — Ton compte est bon, Louis. Encore une fois t’as rien foutu.— Qu’est-ce qui vous permet de l’affirmer ? interroge Marie-Amélie, qui joue avec son collier de perles. Qui vous prouve qu’il n’est pas revenu à cet endroit vous attendre, son travail terminé ? N’avez-vous pas laissé Mademoiselle ...
    ... pour le surveiller ?— Vous, la bourgeoise, on vous a rien demandé ! Si vous la fermez pas, je vous colle un PV pour corruption de fonctionnaire.— C’est à vous de vous taire, Monsieur ! Votre ton ne me plaît pas du tout ! Hubert, prenez le nom de cet énergumène et rentrons à la maison. Vous allez entendre parler de nous, espèce de mal élevé !— Euh… excusez-moi, je me suis emballé. Il faut dire que Louis a le don de m’énerver.— Bon, j’accepte vos excuses, mais ne recommencez plus ! Venez, Hubert, nous partons. Très digne, Marie-Amélie attend que son chauffeur, qui a récupéré sa casquette, lui ouvre la porte. Elle baisse la vitre et s’adresse à Louis. — Au revoir, monsieur Louis. J’ai beaucoup apprécié votre conversation et je vous remercie des explications que vous m’avez fournies. N’oubliez pas, pour demain.— Au revoir, Madame. L’automobile démarre. Antoine attend qu’elle ait disparu dans le tournant pour demander : — Quelles explications ?— Euh…— Louis a dit en quoi consiste son travail, s’empresse Lisette, qui décide qu’elle a plus à gagner à soutenir le cantonnier qu’Antoine.— Bon, pour une fois, je veux bien passer l’éponge, mais que ça se renouvelle pas. Toi, ajoute-t-il en poussant la jeune fille par les fesses, monte devant ! De son côté, Louis récupère ses outils et grimpe à l’arrière, aidé par ses confrères qui s’empressent de l’interroger sur la belle dame. Louis ne leur dit rien, bien évidemment. OooOOOooO Dans la voiture, Marie-Amélie s’évente de la main. — Pfou ! ...
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