1. Je dévergonde ma mère... (5)


    Datte: 29/07/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... au-dessus du mouchoir en papier et vint atterrir sur son menton. Elle baissa instinctivement ma bite, mais pas assez et la deuxième rafale échoua sur son body et entre ses seins. Puis elle vida le reste de mes couilles dans le mouchoir. Je ne m’arrêtai pas de juter. A chaque salve, Maman gloussait de plaisir et d’étonnement. Bien sûr, le sperme dégoulinait du Kleenex et coulait sur sa jupe et ses cuisses. Elle avait du foutre partout. « Mon Chéri, quel homme tu es ! Je n’avais jamais vu une queue cracher autant de sperme C’est incroyable. Tu aurais pu me dire que je prévois une serpillière. Parce qu’avec ce kleenex, je n’ai rien pu faire. » Elle me regardait en souriant, une lueur de fierté dans le regard. Un mince filet blanc coula de son menton. « OH Maman excuse-moi. J’aurais dû te prévenir en effet mais je croyais que tu t’y attendais. Tu as du sperme partout. Je suis désolé. Je me sens coupable. » Elle éclata de rire : « Mais non mon Amour. Ne t’en veux pas. Tu sais quoi, je crois que j’ai adoré ça. Normalement je n’aime pas trop le sperme mais avec toi c’est différent. Peut-être parce que tu es mon fils, rien ne me dégoûte chez toi. Je suis même sûre que tu es... délicieux. » Et elle porta son index à sa bouche pour le nettoyer avec sa langue. « OH oui, tu vois je le savais. J’adore le goût de mon fils. » Elle semblait si heureuse et si épanouie. Dire que je ne l’avais même pas encore baisée... Elle sortit d’autres mouchoirs et entreprit de se nettoyer un peu. Ce ...
    ... faisant, elle continuait à s’extasier sur le volume de mon éjaculation, en soupesant et caressant mes couilles. Elle m’essuya enfin tout le matériel et le rangea dans mon pantalon, en murmurant un «Maintenant on est sage.» très maternel. Je redémarrai et quelques minutes plus tard les pneus crissèrent sur le gravier blanc, dans l’allée de l’Hôtel. J’avais posé ma main droite sur la cuisse de ma mère et caressais le haut de ses bas. Nous ne parlions plus, tous deux encore portés par l’extase. Quand elle vit le voiturier s’approcher, Maman s’exclama : « Ne me dis pas que tu habites ici ? » « Non. J’ai réservé dans cet hôtel pour le week-end. Je voulais t’offrir le meilleur pour que tu puisses te reposer et ne penser à rien. » « Oh merci mon chéri ! » Elle se pendit à mon cou et m’embrassa longuement sur la bouche. Pour la première fois sa langue était sortie et joua brièvement avec la mienne. Je sentais ses gros nichons s’écraser sur mon torse. Si le groom n’avait pas été là à nous attendre, j’aurais pu la baiser tout de suite dans la caisse. Je me suis détaché d’elle à regret et lorsqu’elle sortit, aidée par le voiturier, je ne manquai de lui mater le cul. En avançant dans le hall de l’Hôtel, avec un ton que je ne lui connaissais pas, elle murmura dans mon oreille : « J’espère que tu n’as réservé qu’une chambre. Je ne veux pas te quitter une seconde. » Ces deux jours s’annonçaient au mieux. Il y avait du champagne au frais et ma mère pour moi tout seul. Je me sentais à nouveau à ...
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