Chienne un jour, chienne toujours (1)
Datte: 29/07/2018,
Catégories:
Trash,
... vitrine, on ne peut pas y voir à travers. Bon, je subodore qu’elle en a pour un moment, je file m’encanailler en face dans l’un des sexshops de la rue. Ce sont les vêtements osés qui attire ma convoitise, j’adore me promener parmi ces nippes excitantes. Celle qui me comble, c’est cette tenue bleue pastel si peu couvrante avec ses ouvertures suggérant la nudité intégrale en dessous. Avec mes chaussures bleues, elle s’accordera parfaitement et il y a ma taille. Emballé, c’est pesé, direction la caisse, je paie mon dû et sors. Je fais les cent pas dans la rue à attendre de voir sortir ma frangine. Ça été un peu long, un peu plus de deux heures quand elle sort enfin de la boutique tout sourire. Sans me voir, elle me passe juste à côté et continue son chemin. Et sa cadette la suit, comme une grande détective. Deux rues plus loin, elle entre chez notre esthéticienne. Je suppose une épilation intégrale, comme nous le faisons souvent avec ma sœur. Mais là, voyant sortir plus de deux heures et quelques cafés plus tard, j’en reste sans voix car c’est à peine si je reconnais ma sœur. Cette petite dévergondée n’a plus un poil sur sa tête, chauve, plus rien, nada, pelée du crâne à l’économe. Je dois avouer qu’elle m’intriguait que davantage et m’excitait tout autant. Donc, je la suis encore. C’est chez une vendeuse de lingerie fine et licencieuse qu’elle entre, encore une adresse à retenir. Par la vitrine, de loin, je la vois parler longuement avec la boutiquière qui lui sort un sac, ...
... d’apparence remplit de choses osées à voir ce qui dépasse. Ma sœur paie et sort. J’ai juste le temps de me planquer. Enfin, je la vois prendre son bus, celui qui va la ramener directement chez elle. Après un rapide calcul, en y ajoutant le temps qu’il faut pour rentrer chez moi, je me dis qu’un petit coup de fil à ma frangine ne serait pas de trop. Essoufflée, j’appelle ma frangine. Zut, elle n’est pas encore arrivée. Cela me laisse un peu de temps pour réfléchir sur son compte. Quand le téléphone sonne, je devine que c’est elle. — Oui, c’est moi. T’as appelé ? — Oui, dis-moi, il avait congé ton gynéco ? — Non pourquoi ? — Je t’ai suivie jusqu’à ton bus, petite menteuse. Dommage que tu ne sois pas revenue chez moi, sinon, c’était le châtiment de papa que je t’administrais et à double ! — Ok, je vois, on en reparle vendredi soir ? — J’espère bien, tu as tellement changé ces derniers temps que tu me fais un peu peur. — Y a vraiment pas de quoi, je t’embrasse à vendredi. — Ok, ma belle, à vendredi. Même pas rassurée, j’appelle ma tout grande sœur, Bénédicte, belle comme un cœur et toujours pas en ménage à 27 ans. Zut, elle n’est pas là, c’est le jour où elle fait ses courses, quelle conne je fais. Bon, surtout ne pas alarmer nos parents, ils seraient bien capable de paniquer et de débarquer comme une tornade. Donc, mon Jojo, c’est un de mes petits amis. Il sodomise si merveilleusement bien. zchzppru — Salut mon cœur, tu fais quoi ce soir ? Rien !...On peut se voir, j’aimerai que tu ...