Chienne un jour, chienne toujours (1)
Datte: 29/07/2018,
Catégories:
Trash,
... la nuit pour notre plus grand plaisir à tous les deux. Au matin, je le douchais de ma bouche, de ma langue, lui donnant une dernière occasion de jouir de moi, en moi. Sur le départ, je l’arrête pour lui avouer qu’il fut un excellent baiseur de chatte et un encore plus merveilleux enculeur. Je l’embrasse encore tendrement lui promettant d’autre moment coquin entre nous. Nue, je ne pus m’empêcher de caresser mon bouton d’amour en repensant à cette nuit enchanteresse. Nul doute que mon Jojo avait changé, du haut de ses presque vingt ans, il est devenu amant excellent. Pour un peu, je dirais même qu’il me baise presque comme un dieu. Dans la matinée, je refais tout le parcours de ma sœur, cherchant à comprendre ce qu’elle fit hier. Une photo d’elle en poche, je me rends à la boutique spécialisée dans le piercing. Mentant en me disant inquiète pour ma sœur, l’homme, fort beau au demeurant, m’indiqua lui avoir percé la cloison nasale pour un anneau ainsi que le capuchon du clitoris pour un autre anneau, mais permanent. Satisfaite, encore plus excitée, mais songeuse, je continue mon enquête. Dans la boutique de lingerie fine, je retrouve la vendeuse qui s’était occupée de ma sœur, lui demande si c’est là tout ce qu’elle vend, mon visage indiquant mon insatisfaction. Souriante, la vendeuse me propose quelque chose de plus exotique en m’invitant à la suivre. Derrière un rideau rouge, je découvre un univers totalement nouveau pour moi, celui du cuir, du latex et autres matières ...
... fétichistes. Mais pas seulement, il y a là tout un vaste arsenal pour entraver, punir et faire souffrir ou jouir. En caressant ces matières, un frisson d’excitation parcoure mon corps en imaginant à ma sœur sévèrement punie. La vendeuse me demande si le cuir me fait toujours cet effet, je lui souris, un petit air sadique. — Je vois que vous n’êtes pas une femme facile. Je vous vois comme une femme de caractère, une dominatrice. — C’est le cas, j’ai déjà mon petit chien. Mais une chienne me serait agréable. Hier, passant devant votre boutique, je m’y suis arrêtée pour un petit coup d’œil dans votre alléchante et belle vitrine. Il y avait une femme d’environ vingt-cinq ou vingt-six ans, le crâne fraichement rasé. — De vos amies ? — Pas encore, ma future chienne tout au plus. Mais ce que je veux savoir, en voyant votre merveilleuse arrière-boutique, c’est ce que contenait ce sac que vous lui avez remis. — Je ne puis vous le dire mademoiselle, cela tient du secret. — Taratata, je connais ces secrets de polichinelle, mon chien en avait, ma badine en a eu raison. — Bien, je vous montre sa fiche ? — Avec plaisir ! La fiche indique, en me référant à ce que je vois dans cette boutique sulfureuse, à une paire de menotte, des bottines ballerines donc talon et pointe du pied reposant sur le sol, un corset victorien à balconnet sur mesure, un soutien-gorge à pointes acérées. Les mots pointe acérée me mettent dans tous mes états, car les pointes ne sont pas à l’extérieur, miaou ! Et la liste est ...