Descente bi en candaulisme
Datte: 30/07/2018,
Catégories:
hh,
hbi,
cocus,
hsoumis,
fdomine,
humilié(e),
hféminisé,
hsoumisaf,
... Fais-le bien cocu, ce suceur de bites ! » Lorsqu’ils furent calmés, j’allai me coucher dans le salon, sur le canapé, pour laisser le lit à ma femme et son amant. Le lendemain matin, elle m’appela de la chambre. Lorsque j’arrivai, elle était allongée sur le dos, sous les draps, alors que lui était sous la douche. — Bien dormi, mon cocu ?— Difficilement, chérie ; j’étais très excité…— Je m’en doute… Tu as entendu comme il me baisait bien ?— Oui, entendu et vu. Pardon…— Je m’en doutais. Mais ce n’est pas grave : ça me fait plaisir. Viens sous les draps, viens me bouffer la chatte. Je ne me fis pas prier. Je me glissai sous les couvertures, un peu à quatre pattes, pour aller déguster sa chatte. Ma femme avait bien écarté ses jambes, et cela sentait le sexe sous les draps. Je ne voyais rien mais me mis au travail, et tout de suite je constatai une abondance de liquide poisseux… Je m’arrêtai, mais elle me plaqua la tête entre ses jambes, contre sa chatte. — Allez, nettoie-moi bien la chatte, cocu ! Nettoie cette chatte qui s’est fait mettre, nettoie tout ce foutre, mets ta langue partout où il a mis sa bite ! Ce que je fis. Je léchais sa chatte lorsque je sentis derrière moi une main sur mes fesses… Puis les draps se relevèrent derrière moi, et j’entendis Jean (son amant) rire : — Mais ...
... elle a un beau cul bien exposé, la petite salope ! Ma femme continuait à me plaquer le visage sur sa chatte alors que son mec caressait mes fesses. Bien vite, je sentis quelque chose de froid et liquide couler sur mon anus. Allait-il… Se pouvait-il qu’il… soit en train d’huiler mon anus ? Rapidement, je sentis son gland contre mon anus. Ma femme me demanda solennellement : — Chéri, tu veux bien que Jean t’encule ? Tu peux refuser ; mais à ce moment-là, il a dit qu’il prendrait mon cul à la place. Ce n’est pas ce que tu veux, ce que nous voulons, non ?— Non, chérie. Mais bon ; pour toi, alors… Après cette approbation, je sentis son gland pousser et m’ouvrir les fesses. Il se glissa profondément en moi, lentement, avec de petits aller et retours pour m’habituer. Ça y était : j’étais la dernière des putes, léchant le sperme de l’amant de ma femme à même sa chatte tandis que l’amant en question m’enculait et allait et venait dans mon petit cul… Cela les excita beaucoup tous les deux ; ils m’insultaient, me traitèrent encore de pute, de salope, de chienne, de garce, de trou à bites, de suceuse, de gouffre à queues… Et tout ça m’excitait. Il jouit soudain au fond de mon cul ; je sentis les flots de sperme me remplir alors que je léchais de plus belle ma femme et qu’elle jouissait aussi.