1. Descente bi en candaulisme


    Datte: 30/07/2018, Catégories: hh, hbi, cocus, hsoumis, fdomine, humilié(e), hféminisé, hsoumisaf,

    ... Tu aimes le spectacle, cocu ? Et je répondais : — Oui… Une fois le repas passé, de retour sur le sofa, il lui enleva sa blouse, et elle lui retira ses fringues. Je vis sa bite pour la première fois : longue, un gros diamètre, bien dressée ; elle semblait très dure alors que ma femme la caressait doucement en me souriant. — Tu as vu sa bite ?— Oui.— Et ?— Elle est… grosse.— Plus grosse que la tienne, cocu !— Oui, bien plus grosse…— Et dure avec ça : il ne bande pas mou comme toi !— Oui, elle a l’air dure.— Viens toucher à quel point elle est dure ! Je marquai un temps d’arrêt, mais elle me regarda sévèrement et je dois bien dire que, quelque part, l’idée m’excitait. Je m’approchai donc, et ma femme prit ma main dans la sienne pour ensuite venir la poser sur sa bite. Je tenais une bite en main, avec la main de ma femme sur la mienne, et elle commença à me faire branler cette queue si bandée. — Alors, elle est dure ?— Oh oui, elle est dure…— Continue ! Branle-la, cette grosse bite ! Elle relâcha la pression sur ma main et je me mis à branler cet homme, à genoux devant lui, sous leurs regards à tous les deux… Lui, il continuait de branler la chatte de ma femme, qui vint poser ses mains sur ma tête et me poussa doucement vers cette bite. Je compris qu’il n’y avait pas le choix… — Tu vas le sucer un peu ; je suis sûre que tu vas adorer ça, et moi ça va beaucoup m’exciter. Elle me força ainsi, sans vraiment forcer finalement, et ma bouche s’ouvrit pour prendre ce gland. Je le ...
    ... suçai doucement, puis m’enhardis et me mit à sucer sa bite plus goulûment, en alternance avec des moments où je la léchais sur toute la longueur et me frottais un peu le visage avec. Lui, il soupirait d’aise ; quant à elle, elle me regardait avec de grands yeux pétillants d’excitation tout en me répétant des mots cochons : « Suce bien, salope… Tu es faite pour ça : sucer des bites. Je t’en donnerai d’autres. Allez, suce ! Prends-le bien en bouche… On dirait que tu as fait ça toute ta vie, petite pute ! Branle-le en même temps… oui, comme ça… Mange bien sa bite, salope ! » Après quelques minutes, ma femme se mit à branler rapidement la bite de son amant tandis que ma bouche restait sur son gland pour le pomper. J’eus juste le temps de retirer ma bouche quand je sentis sa queue se mettre à exploser et arroser mon ventre : il jouissait abondamment, grâce à ma bouche, tandis que ma femme en riait et me traitait de « bonne pompeuse de queue ». Elle l’emmena alors dans notre chambre et ferma la porte devant moi. Je restai ainsi derrière la porte pour les écouter rire et se remettre à se caresser. Puis, plus tard, j’écoutai les cris de ma femme en train de se faire baiser, et je la vis même par le trou de serrure. Elle criait, jouissait, criait encore, des « Ooooh, quelle grosse bite ! Ramone-moi bien, défonce-moi la chatte… » Je savais qu’elle se doutait que je voyais et entendais, alors elle en rajoutait pour moi : « Ta bite est si grosse… Jamais mon mari ne me baiserait comme ça… ...
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