Agathe a su me surprendre grâce à un jeu de dés - Histoires de Sexe

Agathe a su me surprendre grâce à un jeu de dés

... réussissait à me mettre mal à l’aise, je voulais à la fois soutenir son regard pour l’encourager et surtout ne pas manquer l’éphémère spectacle sans passer pour un obsédé. Elle cligna des yeux comme pour se donner le signal puis abaissa sa petite culotte. J’ai vu ses poils apparaître, noirs charbon, bouclés et abondants. C’était beau de mater ensemble, sa chatte et elle, slip baissé et rouge de timidité. Je photographiai ce tableau dans ma mémoire, car les tissus recouvrirent vite sexe, cuisses et genoux : tout était déjà remis en place. — J’en suis à la moitié, je suis contente d’avoir réussi le dernier, j’espère que je ne te déçois pas trop, tu as dû voir beaucoup de femmes presque nues. Il paraît que sur internet, les femmes se rasent, moi, pour l’instant, je n’en ressens pas le besoin. Bien sûr, si un petit ami me le demandait, je le ferais. Même si je ne suis pas une des filles d’internet, je crois que tu as aimé, car ton pantalon ne désenfle pas. Elle se mit à glousser et écarquilla les yeux en dodelinant de la tête. — Tu ne veux toujours pas voir ce que mon pantalon cache ?— Non, mais je dois t’avouer que l’envie existe, alors peut-être plus tard. Je n’insistais pas, je n’allais faire capoter les trois derniers défis. — Quatrième exercice, je vais retirer complètement ce que j’ai abaissé tout à l’heure, mais je vais faire en sorte que tu ne voies rien, c’était le but du gage. Effectivement, elle passa ses deux mains sous sa jupe, elle tortilla deux ou trois fois son ...

... gros popotin et le tour fut joué. La culotte rejoignit le chemisier. — Fastoche, comme à la répétition. J’acquiesçai et la félicitai de ce petit tour de magie. — Pour le suivant, tu vas être mis à contribution, c’est toi qui vas mettre, disons, six petites tapes sur chacune de mes fesses Je lui disais que j’étais ravi de participer activement, de plus, j’allais voir son éléphantesque cul nu, j’allais le toucher. — Attention, m’ordonna-t-elle, ce ne sont ni des caresses ni des grosses claques, je compte sur ton expérience pour doser. Je n’avais aucune expérience de fessée et la réussite de ce nouveau gage pourrait lui faire penser que je suis un homme d’expérience, ce qui pourrait la rassurer. Elle se tourna, s’approcha à la portée de mes mains, souleva délicatement sa jupe. Ses cuisses se dévoilaient, charnues, un peu graisseuse, puis la rondeur de son cul hypnotisait mon regard, sa jupe était remontée haut sur son dos, ses fesses gigantesques m’appartenaient. — Allez, vas-y, mélange douceur et fermeté, donne-moi du plaisir Deux claquements pas trop forts et Agathe m’encouragea. — Encore dix comme cela et je crois que mon sexe va s’humidifier comme si je le caressais. Elle se disait vierge, sans expérience et je la croyais, mais ses paroles faussement naïves me transportaient au point, moi aussi, de me demander si je ne finirais pas par jouir sans me toucher. À chaque coup, Agathe le ponctuait d’un « c’est bon » ou « encore ». — Tes mains sont magiques, soupira-t-elle. Son cul ...