Agathe a su me surprendre grâce à un jeu de dés - Histoires de Sexe

Agathe a su me surprendre grâce à un jeu de dés

... rougissait et ma main chauffait, Agathe était appétissante, amoureusement désirable. J’aurais voulu prendre son cul contre moi pour lui faire un câlin. — Douze, c’est fini, déjà fini, tu as su me mettre presque en transe, tu as des mains qui me donnent du plaisir et encore, elles ne m’ont pas montré la douceur de leurs caresses— Agathe, tu es exquise, je veux bien te caresser pour que tu puisses juger.— J’aurais aimé et je l’avais prévu dans mes gages, mais j’ai perdu.— On peut changer la règle, si tu veux.— Alors, pour le dernier gage, je vais peut-être te demander de participer aussi— Bien sûr, demande-moi ce que tu veux. Le dernier gage était une simulation de masturbation. Quels étaient ses plans ? J’avais hâte de savoir. — Pour le dernier gage et comme je m’y étais engagée, je ferai comme il a été fait l’autre soir. Ma copine était toute nue, donc je serai dans le plus simple appareil. Agathe allait se mettre à poil, je n’en croyais pas mes oreilles. Agathe, entièrement nue, aucun centimètre carré de sa peau ne pourrait plus échapper à mon regard. — Pour m’encourager, j’aimerais que tu libères ton sexe de sa prison et de te masturber en me regardant, enfin, si tu veux me faire plaisir. Elle minaudait, à la limite me suppliait, j’en étais bouleversé de désir, presque d’amour. Elle allait regarder ma bite dressée par elle, dressée vers elle. J’ouvris ma braguette, baissai mon caleçon et mon pantalon dans un même geste. Mon sexe claqua sur mon ventre, il était bandé comme ...

... un arc. Agathe avait les yeux grands ouverts, elle scrutait mon membre sans aucune gêne. Elle mit une main sur ses lèvres et envoya un baiser à ma tour d’ivoire. Agathe était d’une délicatesse, chacun de ses gestes était comme un voile ondulant au gré d’une brise légère. — Je vais me mettre nue devant toi, regarde-moi avec tendresse. J’aimerais que l’on commence ensemble notre masturbation, alors, s’il te plaît, attends de voir ma main entre mes cuisses pour commencer la caresse sur ton sexe. Elle dégrafa son soutien-gorge et découvrit ses seins blancs, bien remplis et majestueux, ses aréoles claires laissaient pointer deux tétons qui ne demandaient qu’à être titillés. Elle ôta rapidement sa jupe pour être comme au jour de sa naissance, je la trouvais belle dans son corps opulent. Sa grosse chatte aux poils noirs et bouclés tranchait sur le blanc de sa peau. Je voyais le « 1 » de notre jeu de dés. Elle se tourna, s’agenouilla et se mit à quatre pattes, ses coudes sur le sol firent remonter son immense popotin. Elle se cassa les reins pour mieux s’offrir tout en éloignant ses genoux l’un de l’autre. Le spectacle méritait un César, ou plutôt un Molière, j’étais le seul spectateur et au premier rang. Au fur et à mesure que ses joues fessières s’élevaient, le sillon s’écartait, de même que ses grandes lèvres. Son petit trou et son clito furent deux acteurs majeurs de cette scène intime et inédite. Son doigt se faufila entre ses chairs pour recouvrir son appendice à plaisir. Le ...