Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (7)
Datte: 31/07/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... Malgré ses protestations, je commence à lui branler la chatte par-dessus le fin tissu, avant de glisser mes doigts dans la minuscule culotte. Elle me coule sur les doigts, elle se mord les lèvres, je sens qu’elle essaie de résister à la tentation. Je tiens ma revanche. ueputtcf — Alors ? Ce que je fais te plait car tu mouilles, mais tu ne veux pas craquer de peur qu’on nous découvre, comme moi à la fenêtre l’autre fois !... Maman lutte plus contre elle-même que contre moi. Alors, connaissant ses goût, je sais comment la faire définitivement lâcher prise. — Je vais te baiser. Et même par tous les trous ! Je vais jouir en toi, t’en mettre partout ! Elle va finalement craquer… à demi, le juste milieu en quelque sorte. — Non, tu ne me baiseras pas, mais je veux bien que tu me lèches. Mais fais vite, voilà déjà un bon moment que nous sommes là-dedans, la vendeuse à l’entrée des cabines va finir par se poser des questions. — Mais j’espère bien qu’elle s’en pose, et qu’elle devine plein de « choses » ! — Vicieux ! — J’en ai autant à ton service, vicieuse ! OK, je vais me contenter de ce que tu me demandes. Je m’agenouille devant elle, qui remonte elle-même sa nuisette au-dessus de sa taille. Je commence par écarter le string, et me jette sur sa chatte, toujours pourvue d’une ravissante et bien fournie toison noire (que je continue de tailler régulièrement !). Maman me repousse un instant, fait glisser son string le long de ses jambes, et le retire. Puis, elle s’assied au bord du ...
... petit tabouret, et écarte les cuisses au maximum. Je peux alors à loisir lui ouvrir les grandes lèvres de ma langue, écarter les poils odorants, débusquer et mordiller le clito. Et enfin insérer ma langue dans la vulve, pour déguster et boire son con d’amour. Si j’éjaculais beaucoup, Maman mouillait toujours énormément, sans être toutefois une femme fontaine. Sa jute était pour moi le meilleur des breuvages. Maman se contracte, enserrant à présent ma tête entre ses cuisses. Je l’entends haleter très fort. A son tour de se voir contrainte à un silence inhabituel chez elle pendant la baise !... Elle approche ses fesses tout au bord du tabouret, et lève un peu les jambes pour me permettre d’atteindre son anus avec ma langue. C’est alors que la vendeuse, vient nous « casser la baraque ». — çà va comme vous voulez, Madame ? De quoi elle se mêle cette conne ! Bien sûr, elle fait son boulot, et doit commencer à trouver longuette la durée d’occupation de la cabine… Maman trouve péniblement la force de répondre : — O… oui, ça… ça va très bien, merci. Je… je n’en ai plus pour longtemps ! Je comprends qu’il me faut accélérer le mouvement. Alors, je lui dévore goulûment la cramouille, là bois, et soudain je sens Maman se contracter, et m’inonder le visage de son jus. Je ne perçois qu’un très étouffé : — Hmmmmm !!!!.... La belle femme jouit avec le « frein à main », sur le plan verbal ! J’aurais bien voulu qu’elle me suce, mais soudain dégrisée, elle me chuchote : — Pas question, la vendeuse ...