1. La correspondante asiate de Marie (2)


    Datte: 31/07/2018, Catégories: Hétéro

    ... élève, ses baisers croissant en intensité à mesure qu’il la serrait dans ses longs bras osseux. On aurait dit un vampire assoiffé, effrayé à l’idée d’être interrompu dans son festin de sang. Un dernier baiser brutal arracha à Samaryl un petit cri de douleur. Les yeux fous, Jean-Edouard se redressa et attendit la paire de claques qui n’allait sûrement pas tardé. Mais la belle se contenta de passer le dos de sa main sur sa bouche humide : -French Kiss vraiment comme ça ? Faire mal ! Alors Jean-Edouard la poussa dans son repaire en lançant des regards inquiets en direction de la cage d’escalier, puis il se rua sur elle, la renversa sur son lit défait et l’embrassa à nouveau comme un sauvage. Samaryl passa ses bras autour de son cou et lui montra qu’elle savait elle aussi faire des baisers avec la langue. Jean-Edouard prit soudainement conscience qu’il avait été aveuglé par son manque total d’estime de soi. Puis il éprouva des sensations jusqu’alors inconnues et se retrouva plongé dans un état de félicité absolue. Jamais un fruit ne lui avait semblé aussi délicieux que les lèvres de la belle. Et Samaryl était tellement somptueuse ! Elle avait désormais les paupières gonflées et respirait lentement, signe que les baisers passionnés du garçon produisaient leur effet. Puis celui-ci commença à lui caresser les jambes et même l’intérieur des cuisses, très haut, tout près de sa culotte. Jean-Edouard bandait très dur mais prenait tout son temps, jouissant pleinement des décharges de ...
    ... plaisir qui se répandaient dans tout son organisme. Pris d’une envie soudaine d’admirer Samaryl dans toute sa splendeur, Jean-Edouard s’agenouilla au pied du lit. La princesse était allongée sur le dos, ses immenses cheveux noirs de Barbie déployés tout autour de son beau visage et les cuisses largement écartées. Sa jupe en jean était retroussée et ne cachait plus grand chose de son slip noir en soie. On distinguait la forme des lèvres de son sexe et entre elles une tache de mouille encore presque invisible. Mais quand Jean-Edouard posa le bout de son index sur le renflement de la petite culotte sexy, Samaryl le repoussa doucement : -Je dois descendre Jean-Edouard, Marie va chercher moi. Je serais très honteux après … Elle se releva souplement et réajusta sa jupe. Puis elle se pencha et embrassa tendrement son partenaire en posant ses mains sur ses épaules : -Mais tu pas t’inquiéter, je reviens plus tard … * Emballer Samaryl avait été pour Jean-Edouard une expérience totalement inattendue et presque irréelle. Le garçon ne comprenait toujours pas par quel miracle une telle beauté était ainsi tombée sous son charme. Mais alors qu’il attendait avec impatience le retour de la belle, le plaisir et la fierté s’estompaient déjà au profit d’un sentiment d’angoisse grandissant. Jusqu’à présent, tout s’était déroulé à la perfection : le garçon avait caressé la peau satinée de la splendide asiatique en faisant preuve d’un feeling extraordinaire. Mais parviendrait-il à lui faire l’amour ...
«1...345...8»