1. La correspondante asiate de Marie (2)


    Datte: 31/07/2018, Catégories: Hétéro

    ... avec autant d’aisance ? Samaryl devait espérer un French Lover de première classe et non pas un benêt pathétique tout juste bon à jouir en secret avec ses petites culottes. Comme s’il s’agissait d’une opération militaire, Jean-Edouard élabora un plan d’action : en premier lieu, échanger avec Samaryl quelques tendres French Kisses, puis l’embrasser derrière les oreilles et dans le cou, caresser ses seins, puis ses fesses et ses cuisses. Enfin, fourrer sa tête entre ses jambes et embrasser ses lèvres du bas comme s’il s’agissait de sa jolie bouche. Préliminaires terminés ! Après un pareil traitement, elle serait trempée et il ne resterait donc plus qu’à la pénétrer comme on enfonce un couteau chauffé à blanc dans une motte de beurre tendre. Ce n’était pas sorcier. Quelques coups de reins comme quand il baisait son oreiller en imaginant sa cousine Sophie ou Catherine, la meilleure amie de sa mère. Simple formalité. Et en cas d’éjaculation précoce, il prétendrait qu’il était « trop excité » et lui proposerait de recommencer. La regarder nue lui permettrait de se remettre à bander dans les plus brefs délais. Jean-Edouard avait pensé à tout. Sauf à l’éventualité que Samaryl ne veuille pas « coucher » et au problème des préservatifs qui ne lui effleura même pas l’esprit. Mais Samaryl ne se montrait pas. La rejoindre dans sa chambre était hors de question. Les parents logeaient de l’autre côté du manoir, mais Marie dormait juste en face et avait pour habitude de laisser sa porte ...
    ... entrouverte. Pour passer le temps, Jean-Edouard se brossa à nouveau les dents, méticuleusement. Puis il vérifia l’odeur de ses aisselles et celle de son gland. Rien d’anormal : « check-up OK, paré au décollage mon commandant ! » pensa-t-il en saluant un gradé imaginaire. Il contempla sa verge qui commençait à gonfler. Un bien bel engin. Vingt centimètres s’il partait de la base de ses testicules. « Et j’en connais une qui va en profiter, de mon gros airbus A320 ! » gloussa-t-il pour se donner du courage, avant de se sentir grotesque à pavoiser ainsi alors qu’il n’avait rien d’un queutard cynique … Onze heures quinze. Jean-Edouard n’en pouvait plus et arpentait sans relâche sa chambre et le corridor, à l’affut du moindre bruit. Mais qu’est-ce qu’elle foutait ? Presque minuit. Jean-Edouard s’allongea sur son lit et ferma les yeux pour essayer de se détendre. Et si elle ne venait pas ? Et si elle avait subitement réalisé qu’il n’avait rien d’un beau gosse ? Au moins, il aurait déjà roulé des pelles. La perte du pucelage serait pour une autre fois. Avant ses trente ans. Au besoin avec une escort. Tant pis pour ses économies. Minuit passé. Jean-Edouard sursauta. Une présence à ses côtés : Samaryl, assise sur le bord du lit dans un kimono blanc en satin. Elle passa la main dans les cheveux ébouriffés du garçon : -Tu dormais ? Je peux retourner dans ma chambre, chuchota-t-elle. Jean-Edouard l’enlaça brutalement, à la façon d’un rugbyman : -Non ! Surtout pas ! Je t’attendais Samaryl ! ...
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