1. Une tranche de vie 4


    Datte: 31/07/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... d’entrée à 4 ou 5 mètres, et je pus la regarder s’y rendre. Elle balançait toujours aussi agréablement son petit cul. Elle dut sentir que je la regardais et sans se retourner elle me dit : « Alors il te plait toujours autant » « Oui, tu es toujours aussi élégante au travail » « Oui, vis à vis des clients, pour ma part, je pense que c’est une obligation et un respect pour eux. Le café est presque prêt, j’ai chaud». Aussitôt, joignant le geste à la parole, elle enleva sa veste. Elle avait sous sa veste un corsage noir dont le tissu était tellement fin qu’il me semblait transparent. « Le café arrive » elle se retourna un gobelet de café dans chaque main. Wouahhh, non seulement elle ne porte pas de soutien, mais le tissu étant vraiment très fin et surtout transparent, je distingue parfaitement ses seins, qui vivaient leurs vies au gré de sa marche vers moi. De plus le décolleté : profond, le premier bouton qui ferme le chemisier se trouve légèrement sous les seins, ce qui permet de voir leurs rondeurs. Excitant. J’avais déjà vu ses seins à la piscine, mais là, la façon de les montrer entraina une réaction immédiate au niveau de ma braguette... Sophie posa les 2 gobelets sur la table, alors que je me levais, dans son dos je me collais à elle et prenais ses seins bien gonflés avec les mamelons pointant et déjà durs. Elle se laissa faire, puis se retournant, elle me dit : « Tu as aimé » Je ne pouvais répondre ayant la bouche occupé à sucer ses seins, les mordiller, les lécher ...
    ... alors que des que j’en abandonnais un elle me présentait l’autre. Tout cela faisait que j’avais une trique pas possible. Elle avait déboutonné entièrement son corsage et arraché de sa jupe pour le jeter sur une chaise. Ses mamelons pointaient durs, je les pris et les tournais entre pouce et index en serrant un peu, elle m’avait dit qu’ayant la poitrine extrêmement sensible elle adorait ce petit jeu, que je faisais avec plaisir, cela la faisait grimper « Arrêtes, tu me rends folle, … non continues, c’est bon, ça m’excite, tu le sais et tu en profites, … oui, … continues, … j’ai envie de toi, … » Elle était bloquée par la table, j’en profitais pour glisser une main sous sa jupe, mais bien qu’elle fut courte, elle était trop étroite pour me laisser atteindre sa moule qui devait être prête, chaude et humide, prête à être consommée. Voyant mes efforts vains, Sophie me dit « Attends » et remontant sa jupe jusqu’à la ceinture elle libérait son entrejambe. En fait elle portait un PJ qui tenait ses bas et encadrait sa chatte nue et rien d’autre. Je la repoussais, enfin, elle se laissa repousser vers la table, et s’y assis. Je me positionnais entre ses cuisses qu’elle avait écartées. Elle me tendit les lèvres, s’en suivi un long baiser, que j’abandonnais pour descendre vers ses seins, puis vers son ventre. Au fur et à mesure que je poursuivais ma descente vers son intimité elle se laissait aller sur les coudes puis carrément sur le dos quand j’arrivais à sa moule, qui comme je le pensais ...
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