Les amis de ma mère... (4)
Datte: 01/08/2018,
Catégories:
Gay
Je me met de l’eau sur le visage et me lave à nouveau les dents. Dès le matin, je viens de remettre le couvert avec Olivier, Mais il a dû faire vite car il était occupé par la suite... Donc je reste sur ma faim. Après m’être séché le visage, je retourne vers la chambre, Sébastien n’est plus dans le lit, ni dans la pièce... Et vu la position de la salle de bain par rapport au reste de l’appartement, il nous a certainement vu, mais cela ne me gêne pas du tout, bien au contraire, peut-être comblera-t’il mon appétit sexuel. J’enfile mon boxer et ressort de la chambre en direction de la cuisine. Il est là, en train de déjeuner tranquillement, assis à table. Je n’ose pas entrer, ma gêne reprend le dessus... "Entre, pourquoi tu restes là?" J’obéis, et je m’assied face à lui. Je ne sais que dire, il y a un blanc au cours duquel les seuls sons que je perçois proviennent de la mastication de Séb. Lui, il est pépère, il ne semble pas gêné le moins du monde et mange tranquillement son petit-déjeuner. Il me jette quand même quelques coups d’oeil de temps en temps, et au bout d’un moment brise enfin le silence : "Tu ne veux rien manger? Je répond : - Euh non merci ça va aller. - Tu vas mourir de faim ! A moins qu’Oliv’ ne t’aie déjà donné le biberon." Il accompagne ces mots avec un clin d’oeil appuyé, je souris, puis lui demande : " C’est le cas... D’ailleurs, puisque tu nous a vu, pourquoi ne pas nous avoir rejoint?" J’ai dis cela tout bas, timidement... Je viens de passer la nuit et une ...
... petite partie de la matinée à me faire troncher par ces deux hommes, mais je trouve encore ça gênant d’en parler de vive voix... " J’ai vu qu’Olivier voulait aller vite, si j’était venu, ça aurait été beaucoup plus long. Et puis j’avais faim. -Ah d’accord... - Mais si tu veux je peux me rattraper et te donner ma part de petit déj’ !" A ces mots, d’un mouvement de tête, il me montre la direction de son entrejambe. Je n’hésite pas une seule seconde, me laissant glisser de la chaise sous la table, à quatre pattes, et positionne ma tête entre ses jambes, gueule ouverte, langue tirée, le regard de chienne. Il faut dire que je suis beaucoup plus à l’aise quand il s’agit d’agir, je n’aime pas trop discuter. Je mordille, lèche, branle et hume sa queue au travers du caleçon, il est suffisamment fin pour que je ressente chaque veine de sa verge au fur-et-à-mesure qu’elle se bande. Très rapidement, je m’attaque aux sous vêtements , j’enlève mon boxer car je commence à me sentir à l’étroit dedans, et je lui ôte le sien aussi car celui-ci est méchamment déformé par l’engin énorme qui s’est déployé à l’intérieur. Sa queue se dresse désormais fièrement vers moi, et je ne tarde pas plus à m’en occuper. Cédant à ma gourmandise, je lui lèche les boules du bout de la langue, allant et venant, arpentant doucement mais sûrement toute la superficie de son scrotum. A pleine bouche, je lui gobe une couille, jouant avec ma langue, je lèche la partie entre les bourses et l’anus en même temps. Je prend ...