Les amis de ma mère... (4)
Datte: 01/08/2018,
Catégories:
Gay
... la deuxième boule en bouche, sans arrêter de jouer avec ma langue... Quand je relâche enfin les deux précieuses, c’est à pleine langue que je lui lèche les parties, les recouvrant de bave, faisant ainsi légèrement gémir de plaisir Sébastien. Je remonte ensuite, à pleine langue, le long de sa verge, jusqu’au méat, et je m’applique à bien lécher chaque parcelle de ses parties génitales, sans pour autant prendre sa pine en bouche. Pour l’instant... Son entrejambe a une odeur délicieuse, mélangeant le sexe, le cul, le sperme, et un peu la pisse... Le tout est des plus agréables, rien ne saurait plus m’exciter que cette odeur, et ma salive le fait que l’exacerber. Je lèche à nouveau tout le long de sa queue, en partant de la base vers le méat, puis j’avale d’un coup une bonne partie de l’engin. Sébastien émet un petit gémissement, et se recule avec la chaise, me sortant un peu de sous la table. Je ne comprend pas pourquoi il a reculé jusqu’à que je sente sa main m’imposer une forte pression sur le crâne, ce qui à pour effet, grâce à la salive que j’ai soigneusement déposé sur toute la superficie de sa queue un peu plus tôt, de me faire avaler son membre jusqu’à la garde... Il maintient ma tête quelques instants, le temps d’un long gémissement, puis me relâche. Je reprend tout juste mon souffle qu’il m’attrape par la tignasse et me refait bouffer sa queue. Comme la veille, il n’a aucun scrupule à m’étouffer avec sa verge, il m’impose son rythme et sa profondeur, baisant ma bouche ...
... jusqu’au fond de ma gorge, dans l’oeusophage, comme il baiserai une chatte. Son membre m’écarte la trachée à chaque passage, me faisant presque mal... Mais j’aime ça, j’en redemande, à ce moment, je ne vis que pour satisfaire monsieur, et j’ai l’air de bien me débrouiller. Une dernière fois, il m’impose sa pine dans la gorge, la maintiens quelques instants puis me tire les cheveux vers l’arrière. "Mmmmh t’aimes ça hein ! Petite salope." Ces mots font encore grimper mon excitation d’un cran, la tête maintenue en arrière, la gueule grande ouverte, langue tirée, de la salive partout autour de la bouche... C’est sûr que je dois pas avoir l’air d’un saint. Séb se lève, toujours en tenant mes cheveux, et pousse tout les meubles à proximité, la table et la chaise. Il passe dans mon dos et me colle le visage contre le carrelage : "Tu ne mérites que de te faire baiser au sol, une pute comme toi doit aimer ça en plus !" Je suis surpris du changement de ton, mais ça me plaît. Il se lâche, et ça m’aide à me lâcher aussi. La tête maintenue contre le sol froid, je sent son gland s’appuyer entre mes fesses. Avec ce que viens de me mettre Olivier, ça rentre tout seul et d’un seul coup, j’ai sa verge jusqu’à la base dans les intestins. A ce moment, je devine qu’il ne va pas y aller de main morte... A l’image d’un Olivier qui y est allé à fond pour jouir vite, il va me déboîter. En même temps je ne demande que ça, de gros coups de bite dans le fondement, rapides et violents. J’ai l’air de quoi? ...