Les amis de ma mère... (4)
Datte: 01/08/2018,
Catégories:
Gay
... Je suis nu, en levrette sur le sol de la cuisine d’un couple d’hommes, une énorme queue dans le derrière, et je gémis comme une petite chienne alors qu’il n’a même pas commencé à me baiser. Et lorsqu’il commence, mes gémissements redoublent d’intensité, je crie presque. je prend mon pied, c’est magistral, et, comme je m’y attendais, Sébastien y va franco, faisant claquer ses boules sur mon cul, encore plus fort qu’Olivier. Sa pine étant plus longue que celle de son compagnon, il me pénètre plus profondément, mais avec la même intensité que son copain. Plus tôt, je n’aurais même pas imaginé qu’il pourrait y aller aussi fort sans me faire mal, et c’est ce qui l’égalisait avec Oliv’. Mais là... Je prend mon pieds comme jamais, je suis constamment au bord de la jouissance, je sent chaque centimètre de sa queue quand elle coulisse le long de mon sphincter. Il se retire, mais ne lâche pas ma tignasse. Il s’en sert pour me guider jusqu’à la table. Là il me lâche enfin la tête, mais c’est pour mieux attraper mes jambes, qu’il soulève haut, m’obligeant à m’allonger sur la table. Il me fourre à nouveau, sans vergogne. Il m’a mis sa pine d’un seul coup, sans même regarder. et il me baise en tenant mes jambes écartées au dessus de lui. Toujours avec la même détermination, on dirait qu’il essaie de me détruire l’anus... En tout cas il s’y prend bien, et j’en redemande, je hurle ma joie, je vais bientôt jouir s’il continue comme ça... Elle coulisse, je sent chaque veine sur toute la ...
... longueur de son membre, il stimule ma prostate comme jamais personne ne l’a fait avant, et je me sent défaillir... je me gicle dessus, je me couvre de sperme... Mon sphincter se contracte en rythme avec ma jouissance, et emmène mon baiseur à ce même stade. Il n’a pas le temps de sortir, je sent sa queue se contracter, chaque veine se tendre, et une agréable chaleur envahit mon ventre... il reste quelques secondes bien ancré dans mon antre, puis il se retire. En même temps que son gland, quelques gouttes de foutre coulent. "Laisses ça comme ça, c’est Olivier qui nettoiera avec sa langue en rentrant ! Par contre j’aimerais beaucoup que tu passes la journée avec ma semence dans ton cul, si tu fais ça, tu me prouvera que tu es vraiment une grosse salope." ptipoonr Bien, j’acquiesce. Je vais garder son jus. Nous enfilons nos sous-vêtements, et je vais au salon chercher les habits que j’y ai laissé la veille. Je me rhabille, je reprend mes affaires, et dis au-revoir à mon amant. Le salut s’éternise un peu, je m’assure que personne ne sera au courant de ce qu’il s’est passé, puis je trace ma route. J’ai quelques dizaines de kilomètres à faire, et je ne tiens pas à arriver trop tard chez moi. Ce que je ne sais pas, c’est que mon trajet va être... Mouvementé. --------------------------------- Nota de l’auteur : La suite ne sera pas un nouveau chapitre des "Amis de ma mère", mais de "auto-stop". J’ai quelques scénarios en tête pour de futures récits, mais je vais vite tomber a cours ...