Jimmy, ex star du porno gay
Datte: 03/08/2018,
Catégories:
hh,
jeunes,
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journal,
Je m’appelle Jimmy, j’ai 25 ans et je vais raconter ici 10 ans de vie sexuelle intense. Tout a commencé à 18 ans : ça faisait déjà quatre ans que j’avais découvert la branlette, autour d’un engin dont j’ignorais alors de façon précise combien il était hors norme : 21cm de longueur à l’époque (23 aujourd’hui), 17cm de circonférence (voire 18 à certains endroits), de bonnes grosses couilles et ce que l’on pourrait appeler une hyperspermie (j’étais capable de remplir un verre à moutarde au tiers ! - eh oui, j’ai eu un jour la curiosité de mesurer). Bref, j’étais bien outillé mais je ne le savais pas trop. Et sorti de la branlette bi-quotidienne, le désert. L’année de mes 18 ans, j’étais en stage UCPA et le manque de place a fait que je dormais chez un des animateurs, dans une chambre à deux lits. Vincent était très facile à vivre, rieur et était doté d’un physique charmeur : il faisait de la natation et de la musculation, d’où un corps sec et musclé, souple également. Il devait avoir 23 ou 24 ans. Quand nous nous couchions le soir, je voyais bien qu’il regardait mon entrejambes assez fournie : je dors en slip, et la taille de mon chibre au repos (17cm) fait que je ne peux le laisser s’étaler à gauche, on croirait que je bande en permanence. Alors, je le mets « en boule », au milieu, ce qui crée une méchante bosse que Vincent ne pouvait pas ne pas remarquer, sans rien dire cependant. Un matin, il vient me réveiller alors que je n’ai pas entendu le réveil. Il s’approche, ...
... bouscule mon corps et soulève les draps. Il voit alors mon érection matinale qui gonfle mon slip en créant une barre bien épaisse sur la gauche, avec un gland qui dépasse de l’aine et qui tire sur le slip. — T’es bien monté, dis donc !— Oui, dis-je confusément, en rougissant un peu.— J’ai jamais vu ça : on peut voir ?— Oui, si tu veux, bien sûr. Et je joins le geste à la parole en descendant mon slip pour libérer mes 23 cm qui viennent claquer sur le côté de la cuisse. — Waouhh, c’est du lourd s’écrie Vincent, je peux toucher ?— Oui. Il commence à caresser ma bite qui frétille un peu en réaction puis la saisit à pleine main pour me branler : ça me fait un bien fou et des sensations inédites dans le bas-ventre. C’est la première fois qu’un autre touche cette partie de mon corps. Il continue puis approche ses lèvres du gland, qu’il a du mal à enfourner, étant donné sa taille : là, c’est l’extase, qui ne dure pas longtemps car elle déclenche en moi une violente montée de plaisir dans les veines des cuisses et le sperme ne tarde pas à être expulsé : 11 jets, abondants et puissants qui giclent partout, en l’air, sur mon torse, dans ses cheveux et sur son visage. Un arrosage en bonne et due règle. — Pardon, dis-je.— Non, non, ne t’excuse pas, c’était super. Il a baissé lui aussi son caleçon, et à genoux près du lit, se branle (il a une queue de taille moyenne) tandis qu’il garde sa main sur mon chibre, qui retrouve vite de la vigueur. Il se remet à me sucer et au bout de 3 ou 4 minutes, ...