1. Jimmy, ex star du porno gay


    Datte: 03/08/2018, Catégories: hh, jeunes, copains, grossexe, vidéox, journal,

    ... presque 3 mois 3 boites de prod. J’ai été accueilli comme le Messie. Ma bonne gueule, mon braquemart hors norme, mes bonnes éjacs à répétition, la qualité de mes érections, tout convenait. J’avais pour seul défaut de n’être pas assez endurant et de jouir trop vite, tellement j’étais excitable et excité. L’endurance, cela viendra avec l’expérience, me disait-on. Bien sûr, on m’a donné des rôles d’actif pour mettre en valeur ma queue. D’abord des solos où je me branlais en 5 minutes, puis ensuite des scènes de fellation : avec des types capables de faire des gorges profondes, qui arrivaient à gober les trois quarts de mon chibre, ce que je ne pensais pas possible. On m’a demandé alors d’être plus rude avec mes partenaires, de les prendre par les cheveux et d’appuyer sur leur tête pour les forcer à avaler tout mon sabre. L’un d’entre eux était vraiment mon style : petite tête posée sur deux grosses épaules bodybuildées, vu d’en haut, ça mettait en valeur mon gros gourdin d’autant que sa carcasse me filait une trique d’enfer. Hors caméra, après avoir juté un max, je n’ai pu m’empêcher de le sucer à mon tour : queue moyenne mais j’étais fasciné par ses abdos, ses pecs, ses aisselles. Une forte virilité avec une tête de gamin, comme quoi la virilité n’est pas que dans la bite. J’allais d’ailleurs sortir avec lui régulièrement. Il s’appelait Tom. Ce n’est que la semaine suivante que j’ai réellement tourné dans des films entiers avec de vraies scènes de baise et des « scénarios » ...
    ... (enfin, faut le dire vite). Les rôles sont toujours un peu les mêmes : le beau gosse à la queue normale est le bottom, qui suce et se fait enculer. Les gros calibres, même s’ils ne sont pas très beaux, sont les actifs. Ils n’ont pas besoin d’être beaux, ni même d’être de bons acteurs : leur grosse queue suffit. Bien sûr, j’étais parmi les actifs, étant donné mon paquet entre les jambes : j’étais parmi les deux ou trois mieux montés de la boîte de prod. Il n’y en a qu’un qui me dépassait, un blanc qui devait avoir un bon 26cm bien large. Malheureusement, il bandait un peu mou : sans soutien manuel ou buccal, sa queue retombait. Les passifs, eux, ont souvent une plastique superbe, des corps très toniques ou musclés, avec abdos apparents et surtout des cambrures et des petits culs incitatifs au viol. Les queues sont assez petites mais bien raides. Pas besoin de me chauffer beaucoup pour avoir le barreau et décharger, avec des culs et des corps pareils. C’était d’ailleurs un problème : lécher ces trous et ces fesses bombées et musclées suffisait parfois à me faire éjaculer. On faisait donc de nombreuses pauses : une scène qui dure 10 minutes dans le film dure en fait 3 heures. Il faut alors tenir des heures avec une érection qui à la longue fait mal. C’est une vraie difficulté. Mais alors, quand on jouit, c’est l’éruption : j’ai eu des éjacs phénoménales pendant ces tournages, alors que déjà en temps ordinaires je ne suis pas avare de ma semence. Là, c’était vraiment le Vésuve : des ...
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