1. Jimmy, ex star du porno gay


    Datte: 03/08/2018, Catégories: hh, jeunes, copains, grossexe, vidéox, journal,

    ... c’est à nouveau l’explosion, mais j’ai pu le prévenir cette fois : il cesse sa succion et le sperme vient à nouveau en gros jets puissants s’écraser sur son jeune visage glabre. Je le vois ensuite finir sa branlette et éjaculer trois ou quatre jets qui coulent de son gland. — Eh ben, t’es bien outillé mon gars, une vraie porno star ! À partir de ce moment-là, tous les jours que durera le stage UCPA, Vincent me traira une ou deux fois le matin et une fois le soir. La dernière semaine, on s’essaie à d’autres jeux : il me tend son petit cul musclé, une véritable œuvre d’art qui est sans doute une preuve de l’existence de Dieu. Un petit cul aux fesses étroites mais bien rebondies et fermes, une belle cambrure quand il est allongé sur le ventre, un cul totalement glabre et qui sent le frais. Il me dit comment faire : je lèche sa rondelle, me perdant, moi et mon visage, entre ses deux petits lobes charnus, puis j’introduis un, deux puis trois doigts et j’élargis ainsi le tunnel qui s’offrira ensuite à moi. Le premier soir où je me suis livré à cet exercice, j’étais tellement excité à brouter ce cul frais que j’ai éjaculé de longs jets en me touchant à peine. Il faudra attendre mes expériences dans le porno pour retrouver des culs si parfaits. Le limer n’a pas ensuite été facile : je passais beaucoup de temps à le préparer et le dilater avec les doigts, avant de m’introduire : un chibre de 6 cm de large ne passerait pas sinon. Le plaisir à jouir dans son cul était indicible, ...
    ... d’autant plus que c’était une première pour moi. Depuis, j’ai pris conscience de mon anormalité : j’étais à la fois très fier d’exhiber mon chibre et en même temps j’en avais honte. Il y avait des jalousies et des railleries dans les vestiaires (« tiens, voilà le démonte-pneu ») mais je frimais parfois dans les urinoirs : étant gaucher, mes voisins de droite pouvaient voir et admirer le volume de mon chibre gonflé de pisse, que je ne cachais pas ; sans doute complexaient-ils aussi, ce qui n’était pas pour me déplaire. En revanche, j’évitai un moment la piscine : cette grosse bosse en bas de mon ventre plat me semblait obscène et je redoutais des érections non contrôlées : même une demie-molle aurait posé problème dans un speedo. J’avais beau m’équiper en taille L alors que M est ma taille, rien à faire : quand la bête commençait à se réveiller et à se déployer, elle devenait à l’étroit dans si peu de tissu. Il m’a fallu des années pour assumer mon gros calibre et retourner à la piscine. Je vois bien aujourd’hui qu’on mate un peu mon entrejambes : je m’en fous désormais, ce n’est pas moi qui ai rendu les slips de bain obligatoires en piscine. À l’université, de 18 à 20 ans, il m’arrivait souvent d’aller réviser chez Kevin, un copain. Un jour, on matait de grosses queues sur un site internet, quand Kevin s’écria : — C’est pas possible de telles bites, ça n’existe pas, c’est forcément photoshopé.— Non, j’crois pas. J’ai la même dans mon slip, lui répondis-je.— Tu déconnes !— Non, tu ...
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